"Chacun de nous a sa blessure : j'ai la mienne.
Toujours vive, elle est là, cette blessure ancienne.
Elle est là, sous la lettre au papier jaunissant
Où l'on peut voir encore des larmes et du sang !"
Edmond Rostand, Cyrano de Bergerac
Photo de Mathilde Primavera.
Cirano...he visto muchas puestas,peliculas al respecto, bien amiga Avignon ya hay un poco de calor poer ahi? Aca esta haciendo frio...
RépondreSupprimerte agradezco una enormidad,la molestia de ir al blog y comentar y dejar tus deseos para mi!
lo mismo deseo para vos!
un saludo
lidia-la escriba
volvi, me podrias enviar tu correo?e-mail? no lo tengo...si queres que te escriba,sino ya comprendo
RépondreSupprimerabrazos
lidia-la escriba
une photo comme nous les aimons
RépondreSupprimer« Apprend à écrire tes blessures dans le sable et à graver tes joies dans la pierre. »
RépondreSupprimerLao Tseu
La lumière accentue les plaies et les bosses, les égratignures et les cicatrices de ce pan de mur... Très belle photo!
RépondreSupprimerLa vie blesse ainsi nos âmes mais certaines de nos blessures ne supportent aucun enduit...
Lidia : Esta foto fue tomada en invierno como un sol brillante, por supuesto, pero era todavía frío, todavía no en la medida en estos días, puede estar seguro, con nosotros no es primavera pero bien, lejos de allí !
RépondreSupprimerNo puedo dejar a mi correo aquí en mi blog, por razones que usted comprenderá, dado que millones de personas leen mi blog (Estoy bromeando, por supuesto), no quiero pasar mi vida leyendo y respondiendo a todos los mensajes nadando en mi bandeja de entrada (siempre broma).
Un besito para ti.
Brigetoun : Brigetoun la copine aux goûts similaires des miens en matière de sujets photographiques !
RépondreSupprimerMichel : j'adore Lao Tseu, ses citations sont toujours lumineuses !!!
RépondreSupprimerEpamin : très joli commentaire touchant ! Mais si l'enduit ne peut recouvrir certaines blessures, il existe aussi des tas de méthodes pour y remédier !!! Fort heureusement !!!
RépondreSupprimerExcellente association texte-image, où l'on voit que ces blessures rendent le mur plus beau... c'est sans doute la même chose pour l'âme.
RépondreSupprimerEt dire qu'on peut faire de la prose avec le mur d'en face ! ! !...:)
RépondreSupprimerT'inquiètes... c'est de la provoc' parce que tu t'essaies à faire de superbes photos sur la texture, la matière, ce qui peut amener chacun à une libre interprétation de ce qu'il veut bien y mettre derrière ! Derrière ! Je parle de ce que tu veux parler bien sûr ! ! !... Mais t'as de ces idées toi ! Pffffffffffff....) Derrière ! ! !.. N'importe quoi !...;)
Oui, je disais donc... j'aime tes photos qui, je trouve, sont différentes de celles que tu proposais auparavant... De la "vraie" photographie du regard et pas de la carte postale sans âme ( ça veut tout dire, rien et n'importe quoi... mais j'avais envie de le dire !...)
Les blessures, ça peut aussi s'entretenir Madame ! Et oui ! ! !... On en a tous, quelque part ( pas derrière Mathilde ! ! ! ), mais elles peuvent devenir des éléments à nous faire devenir plus grands, plus forts... Il faut du temps et de la résiliance comme dirait ce cher Boris... mais chacun peut y arriver ! Après, à savoir si on peut, on veut, on veut pas, on peut pas... ?... Certaines blessures ont du mal à cicatriser.. Elles font le "moi" et notre identité !...;)
Epamin en fait une très "belle" illustration avec cette image de la lumière qui accentue ! Mais à trop éclairer parfois... on s'expose au regard des autres ! A savoir préserver son mur si on ne souhaite pas trop le montrer comme ses blessures... ou bien essayer de le rafistoler pour montrer aux autres que, en fait, on peut faire "bonne figure" et cacher ses plaies et ses bosses, comme par humilité pour celle ou celui qui en a le plus ! ! !
Putain Mathilde ! je ne verrais plus une façade en décrépitude de la même façon désormais ! ! ! Je vais peut-être même me demander à chaques fois s'il n'y a pas quelque chose de caché derrière ( ( et oui... encore...;)))...) ou si c'est de la pure démonstration...
Bref ! Du beau travail d'artiste Mathilde ! je t'encourage... en toute humilité... t'as vu un peu la pirouette... à continuer dans cette voie d'association d'images et de contenus plus intimistes sur notre âme...:)
Bon ! Tu viens le prendre ce bain salé que je puisse te ... la peau ! J'ai toujours adoré le sel et son goût sur la langue, autour de la bouche... Tu sais, ce petit mouvement de langue qu'on fait pour enlever le sel qu'on a au coin des lèvres...;)
Bises donc et... je ne sais toujours pas ce que faisais ces deux pingouins ! ! !...:)
A bientôt Ô bella Matilda...;)
Très chère Mathilde,
RépondreSupprimerCherche est tu trouveras... ce que tu as déjà en toi!!! LA lumière est ton feu, un peu comme le mythe de l'homme('humain) juste dans la prose mistralienne...
Tu as vu nous nous sommes moqué avec Brigetoun....
a ben lèu
Sèrgi
Nathalie : merci pour le compliment ! Pour l'âme tu as raison, plus elle s'épaissit, plus elle devient profonde avec du champ !!!
RépondreSupprimerJeff : mes photos "cartes postales" ? Quand ai-je fait des photos cartes postales ? Parce-que franchement, si je peux gagner ma vie en proposant des photos pour faire des cartes postales, je fonce tout de suiteuuuuuuuuu ! C'est où qu'on doit s'inscrire ? Mais bon, je pense que tu délires, tu as bu la tasse ce n'est pas possible et la mer n'était pas trop propre, les poissons bai...dedans, car j'aimerais bien arriver à faire ce que tu appelles des photos cartes postales !!! Mais photographe du dimanche mi ! Et depuis quand tu trouves que mes photos sont différentes avec un autre regard, ça m'intéresse, car personnellement je n'ai rien remarqué du tout ???!!!
RépondreSupprimerQuant aux blessures (du mur, bien sûr, il ne peut s'agir que du mur voyons, voyons...), je suis persuadée qu'elles permettent de grandir, deeeeeeeeeee faire grandir le mur je voulais dire (ouf, j'ai failli dévoiler certaines choses là, je me suis rattrapée à temps, tout le monde n'y verra que du feu !)
Sans faille, comment pourrait on faire ressortir le relief, du murrrrr ???
Comment la lumière pourrait se déposer s'il n'y avait pas ces creux ? Comment les bosses ne pourraient elles pas être fières de leur longévité les rendant solides comme du roc justement ?
Pfouff, le soucis c'est que je marche souvent dans la rue, partout en faisant des associations d'idées bizarres, et heureusement que je ne les dis pas à voix haute, mais sur un blog, où on nomme une certaine "folie" de créativité, c'est bien, ça arrange tout le monde !!!
Euh Jeff, tant que tu es dans les parages, t'as mal vu, t'as mal..., j'ai encore un petit peu de sel sur l'épaule gauche !!!
Bises salées !!!
Sergi : cherche, cherche, t'en as de bonnes, si seulement je savais ce que je devrais chercher, je chercherai, mais je ne cherche rien du tout, je laisse faire, au mieux je laisse parler mon intuition, mes désirs, je laisse échapper des mots pour continuer à croire que j'existe, je m'active peu, car le minima gestuel ne peut que garantir une bonne détente corporelle, voilà la recette, si on veut prendre le soleil, il faut savoir se poser !!! Les rayons peuvent t'attraper en courant, mais tu les ressens mieux au calme !!!
RépondreSupprimerSi j'ai vu que vous vous êtes moqués un peu avec Brigetoun sur face-book, non mais tu fais exprès d'enfoncer la plaie dans le couteau là, euh le couteau dans la plaie, un peu que j'ai vu mon neveu, et vous n'allez pas être déçus par les dures représailles, parole de corse !!!
Pas de "folie" de créativité... mais tout simplement toi Mathilde... ou moi... ou elle... ou...
RépondreSupprimerA plus...:)
Les blessures les plus vraies ne se voient ni ne se devinent. Intimes, profondes, refoulées, parfois.
RépondreSupprimerBlessures des murs, blessures des arbres, même combat contre le temps. Les épidermes se rident et se rient du vent.
Jeandler : votre commentaire est d'une poésie à tomber par terre et son contenu tellement vrai !
RépondreSupprimerMerci pour vos excellents mots !