Michel : Quant à tes connaissances historiques sur Avignon, je ne te dirais jamais assez merci pour tes précieuses informations, tout comme celles apportées par Lou Ravi et Fardoise aussi ! Quant à la gaffe involontaire, je suis vraiment désolée, mais je ne pouvais pas savoir. Aucun esprit tortionnaire dans cette publication, pas plus que dans les autres d'ailleurs !
Brigetoun, Sergi, Avignon, Epamin, Lou : "bleu, bleu, bleu le ciel de Provence", ou "la mer, qu'on voit danser le long des fleuves clairs, ou encore, "t'as de beaux yeux tu sais" !
Belle faute de ma part. Passé composé, ils n'ont eu (et non "eut").
Et quand tu bois ton café Mat' tu ne peux imaginer (s'il est "dévoyé" ou coupé ce café par quelque succédané) le rapport avec ces balcons...Mais je ne puis en dire plus. Tu as donc marché là où Gabin, la Princesse Murat, Charlie Chaplin et tant d'autres (j'en avais déjà parlé) ont mis les pieds ?
M: oui, un des commandements. Puis les bombardements. Le bunker dont j'ai parlé est juste derrière...Les proprios supportent mal le petit peuple qui fréquente le Centre. Et le Centre lui aussi supporte mal le loyer et les charges...
Mat': comme quoi Marcel A. n'est pas si has been que l'on imaginerait !
Jolie photo de l'immeuble de l'assurance maladie. Je l'ai reconnu au premier coup d'oeil et j'en suis la première étonnée ! Bizarre la manière dont certains souvenirs sont stockés dans la mémoire...
Comme l'ont rappelé Michel et Lou Ravi, avant d'abriter la sécurité sociale, cet immeuble était un hôtel de luxe . Le Dominion fut réquisitionné par les allemands en 1940 et bombardé par les alliés en 44. Depuis il a été réparé et je dois dire que je préfère son aspect actuel. Mais quel va être sont avenir quand la Sécu aura déménagé ? Fini l'accès public à un immeuble chargé d'Histoire...
Lou : que de mystères !!! C'est quoi cette histoire de café et qui est Marcel A ? Marcel Amont ? Ou dois-je moi-même re-boire un café pour me réveiller ? Une demi seconde j'ai cru que vous vouliez en boire un avec la bande d'Avignon ! Fausse joie !!!
Yvelinoise : j'ai envie de dire "ouh la vache !" Vous nous offrez là deux bien beaux témoignages photographiques, vous avez plus que bien fait de ne pas faire que passer par là, mais de nous éclairer davantage avec des clichés historiques !!! J'ai appris que vous n'habitez plus Avignon depuis fort longtemps, mais je sens fort chez vous un amour inconditionnel pour cette ville ! En espérant pour vous que vous pourrez y revenir au moins pendant des vacances, ce qui nous donnera peut-être aussi l'occasion ce vous rencontrer avec tous les autres avignonais blogueurs, c'est en tout cas quelque chose que je souhaite en étant certaine ne pas être la seule !
Merci Yv' pour ces photos. L'hôtel a été bombardé le 25 juin (R. Bailly) et en juillet 1944. Avec une relative précision quand on sait que la FLAK (la DCA allemande positionnée sur le Rocher de Justice, face à Avignon), répliquait fermement. L'aviation US n'avait pas ce bâtiment dans ses objectifs et il aurait été atteint un peu par hasard. Mes parents m'ont raconté qu'ils allaient pendant ces bombardements se réfugier dans des abris ou au Palais des Papes. Le Dominion avait été construit à l'image des palaces de la Côte d'Azur que l'on gagnait en automobile. Il était doté pour cela d'un plan incliné, le seul en Vaucluse, permettant d'atteindre directement la réception. C'est pourquoi le RDC actuel est surélévé...
Mathilde : Avignon et sa région, ce sont mes racines, la ville où je suis née (et mes enfants aussi), le pays de mon enfance, celui que je ne peux oublier. J'ai quitté Avignon l'année de mes trente ans et, si l'an dernier je pouvais dire que j'y ai passé la moitié de ma vie, à présent la balance commence à pencher du côté de l'Île de France... J'aimerais pouvoir venir séjourner à Avignon, le temps de revoir tous les lieux qui me sont chers, et surtout de faire la connaissance de la sympathique équipe des blogueurs réunis, y compris LR son SBF ;-) mais quand ? aucune idée pour l'instant, cela ne dépend pas que de moi.
J'allais oublier : je trouve le vouvoiement un peu cérémonieux, pourrions nous l'abandonner ?
Yvelinoise : ah oui, jusqu'à 30 ans quand même, je comprends que tu sois très attachée à Avignon ! Forcément, on va bien arriver à se rencontrer un jour, si on le souhaite ça ne peut que se faire ! Quant à ce qu'il y ait Lou Ravi avec nous, ça malheureusement, c'est une autre paire de manche ! Je pense qu'avec sa psychologie humaine, il connait même déjà à l'avance notre timbre de voix ! Aussi, il éprouve moins le besoin que nous de nous rencontrer ! Et puis, il a l'air très très occupé aussi ! ça fait beaucoup de points d'exclamations tout ça, je te l'accorde, mais que veux tu, je ne peux pas m'empêcher d'être enthousiaste !!!
Lou et Michel : et "bin" dis donc, je ne risquais pas de trouver, je ne connaissais pas du tout l'expression ! Mais pourquoi fixe, il existe des blogs nomades ?
Je ne crois pas que ce soit une expression ! Bien qu'elle soit intéressante... En fait, nous n'en savons rien. C'est Yvelinoise qui dira son sens de SBF... Mais c'est peut-être celui-là justement.
En fait je ne vais plus guère que sur vos blogs. Se rencontrer, pourquoi pas ? Mais qu'est-ce que cela apporterait ? J'aime bien ces échanges "distanciés".
Mat': faudra refaire la photo cet été quand les géraniums seront fleuris. Ils sont aussi rouges que si du sang vif éclaboussait ces balcons. J'ai retrouvé quelques notes. Le quartier côté Mistral et le Petit Séminaire furent touchés. Quant à toi Mat' c'est le 2 août que tu aurais dû aller te mettre aux abris: des grappes de bombes furent lâchées ce jour-là du début Saint-Ruf à Champfleury, tout le long de la voie. Saint-Michel fut aussi touchée.
Lou : excellente idée pour les géraniums, ça serait bien si j'arrivais à refaire exactement le même cadrage, comme Michel pour ses photos il y a 100 ans et maintenant ! Mais... pendant la deuxième guerre mondiale, je n'étais pas encore née ! J'y étais donc aux abris !!!
Mathilde : SBF fait référence à SDF: Lou comme moi est un SDF qui loge à la bonne fortune chez l'un où l'autre des aimables aubergistes que sont les blogueuses et les blogueurs qui nous ouvrent gentiment leur porte et nous fournissent le couvert pour nous exprimer, ainsi que le vivre sous forme d'images et de pensées dont nous faisons notre pain quotidien ;-) Lou : pour le Dominion, arrête de farfouiller dans tes notes, il suffit d'ouvrir H. Aliquot ! Page 159, il cite Pierre Grillot : "Un jour toutes les archives d'un général arrivent au Dominion. Le lendemain, un peu avant midi, un avion fonce en piqué sur le Dominion et déverse sur lui, avec précision, sa cargaison de petites bombes". Par ailleurs, dans "Avignon, clichés du passé", Jean Mazet rapporte des informations données par Robert Bailly dans son ouvrage "Histoire d'Avignon pendant la dernière guerre" : 18 mai 40 réquisition du Dominion pour devenir un hôpital militaire. 11 nov. 40 installation des bureaux de l'état major du 1er groupe de divisions militaires sous le commandement du général Orly. Le 13 oct. 43 la Kommandantur vient y loger ses services. Le 25 juin 44 cinq bombes sont larguées sur l'hôtel, et le 17 juillet suivant le Dominion est quasiment détruit. Jean Mazet donne aussi une liste de quelques personnalités qui ont séjourné au Dominion, y figurent entre autres : la Duchesse de Westminster, Colette, Winston Churchill, Marcel Pagnol, Tino Rossi, Raimu et Joséphine Baker.
Yvelinoise : Excellent le SBF ! Impressionnée de savoir qu'un ajaccien comme moi est passé par Avignon ! Je ne connaissais pas cet autre point commun entre moi et Tino ! Déjà qu'on me charrie tout le temps avec "le plus beau de tous les tango du monde..." !!!
Yv' tes détails sont aussi précis que les tirs sur l'hôtel.
Et moi je suis un âne car j'ai tous les ouvrages que tu cites. Et je ne les ai pas, sauf les deux Bailly sur la guerre, ouverts. Bien la preuve que Mathilde me fait de l'effet au point de me faire perdre mes moyens !
Lou : alors là, trop facile, me faire porter que vous ne retrouvez pas vos ouvrages à cause de moi c'est comique vu que vous ne m'avez même jamais vu, dites plutôt que vous avez tellement de livres que quelques uns finissent pas se noyer, pour ne pas dire que vous devez certainement être désordonné...comme moi ! Bon, pour cette fois-ci, je vous pardonne votre ruse.
ah ce ciel
RépondreSupprimerbello
RépondreSupprimerAujourd'hui, expérience de géométrie.
RépondreSupprimerLe ciel est d'un bleu... de mer.
Quand je regarde la photo à l'envers, je suis au bord de l'eau.
Le bleu se reflète
RépondreSupprimerdans la flaque...
Je saute dans le ciel!
Joli ciel bleu-dur...
RépondreSupprimerM: ce coup d'oeil à l'envers, c'est à force de regarder les poutres ?
PS: les copropriétaires n'ont eut de cesse que de voir la Sécu partir. Et ils y sont arrivés. Elle va déménager...
Ah bon ? Le service médical va déménager ?
RépondreSupprimerC'est là que travaillait ma sœur...
C'était aussi sous l'occupation, la Komandantur.
Lou : Vous en savez des choses vous alors !!! Et bravo pour avoir reconnu le dernier étage du bâtiment de la Sécurité sociale !!!
RépondreSupprimerMichel : Quant à tes connaissances historiques sur Avignon, je ne te dirais jamais assez merci pour tes précieuses informations, tout comme celles apportées par Lou Ravi et Fardoise aussi !
RépondreSupprimerQuant à la gaffe involontaire, je suis vraiment désolée, mais je ne pouvais pas savoir.
Aucun esprit tortionnaire dans cette publication, pas plus que dans les autres d'ailleurs !
Brigetoun, Sergi, Avignon, Epamin, Lou : "bleu, bleu, bleu le ciel de Provence", ou "la mer, qu'on voit danser le long des fleuves clairs, ou encore, "t'as de beaux yeux tu sais" !
RépondreSupprimerBelle faute de ma part. Passé composé, ils n'ont eu (et non "eut").
RépondreSupprimerEt quand tu bois ton café Mat' tu ne peux imaginer (s'il est "dévoyé" ou coupé ce café par quelque succédané) le rapport avec ces balcons...Mais je ne puis en dire plus.
Tu as donc marché là où Gabin, la Princesse Murat, Charlie Chaplin et tant d'autres (j'en avais déjà parlé) ont mis les pieds ?
M: oui, un des commandements. Puis les bombardements. Le bunker dont j'ai parlé est juste derrière...Les proprios supportent mal le petit peuple qui fréquente le Centre. Et le Centre lui aussi supporte mal le loyer et les charges...
Mat': comme quoi Marcel A. n'est pas si has been que l'on imaginerait !
Jolie photo de l'immeuble de l'assurance maladie. Je l'ai reconnu au premier coup d'oeil et j'en suis la première étonnée ! Bizarre la manière dont certains souvenirs sont stockés dans la mémoire...
RépondreSupprimerComme l'ont rappelé Michel et Lou Ravi, avant d'abriter la sécurité sociale, cet immeuble était un hôtel de luxe .
Le Dominion fut réquisitionné par les allemands en 1940 et bombardé par les alliés en 44.
Depuis il a été réparé et je dois dire que je préfère son aspect actuel.
Mais quel va être sont avenir quand la Sécu aura déménagé ? Fini l'accès public à un immeuble chargé d'Histoire...
Lou : que de mystères !!! C'est quoi cette histoire de café et qui est Marcel A ? Marcel Amont ? Ou dois-je moi-même re-boire un café pour me réveiller ? Une demi seconde j'ai cru que vous vouliez en boire un avec la bande d'Avignon ! Fausse joie !!!
RépondreSupprimerYvelinoise : j'ai envie de dire "ouh la vache !" Vous nous offrez là deux bien beaux témoignages photographiques, vous avez plus que bien fait de ne pas faire que passer par là, mais de nous éclairer davantage avec des clichés historiques !!! J'ai appris que vous n'habitez plus Avignon depuis fort longtemps, mais je sens fort chez vous un amour inconditionnel pour cette ville !
RépondreSupprimerEn espérant pour vous que vous pourrez y revenir au moins pendant des vacances, ce qui nous donnera peut-être aussi l'occasion ce vous rencontrer avec tous les autres avignonais blogueurs, c'est en tout cas quelque chose que je souhaite en étant certaine ne pas être la seule !
Merci Yv' pour ces photos. L'hôtel a été bombardé le 25 juin (R. Bailly) et en juillet 1944. Avec une relative précision quand on sait que la FLAK (la DCA allemande positionnée sur le Rocher de Justice, face à Avignon), répliquait fermement. L'aviation US n'avait pas ce bâtiment dans ses objectifs et il aurait été atteint un peu par hasard. Mes parents m'ont raconté qu'ils allaient pendant ces bombardements se réfugier dans des abris ou au Palais des Papes. Le Dominion avait été construit à l'image des palaces de la Côte d'Azur que l'on gagnait en automobile. Il était doté pour cela d'un plan incliné, le seul en Vaucluse, permettant d'atteindre directement la réception. C'est pourquoi le RDC actuel est surélévé...
RépondreSupprimerMathilde : Avignon et sa région, ce sont mes racines, la ville où je suis née (et mes enfants aussi), le pays de mon enfance, celui que je ne peux oublier. J'ai quitté Avignon l'année de mes trente ans et, si l'an dernier je pouvais dire que j'y ai passé la moitié de ma vie, à présent la balance commence à pencher du côté de l'Île de France...
RépondreSupprimerJ'aimerais pouvoir venir séjourner à Avignon, le temps de revoir tous les lieux qui me sont chers, et surtout de faire la connaissance de la sympathique équipe des blogueurs réunis, y compris LR son SBF ;-) mais quand ? aucune idée pour l'instant, cela ne dépend pas que de moi.
J'allais oublier : je trouve le vouvoiement un peu cérémonieux, pourrions nous l'abandonner ?
Oui, oui, oui !
RépondreSupprimerMais... c'est quoi SBF ?
Sens de la Bonne Fortune ?
Style Bien Fourni ?
Savoir Bigrement Fructueux ?
Stylo à Bille Formidable ?
Yvelinoise : ah oui, jusqu'à 30 ans quand même, je comprends que tu sois très attachée à Avignon !
RépondreSupprimerForcément, on va bien arriver à se rencontrer un jour, si on le souhaite ça ne peut que se faire ! Quant à ce qu'il y ait Lou Ravi avec nous, ça malheureusement, c'est une autre paire de manche ! Je pense qu'avec sa psychologie humaine, il connait même déjà à l'avance notre timbre de voix ! Aussi, il éprouve moins le besoin que nous de nous rencontrer ! Et puis, il a l'air très très occupé aussi !
ça fait beaucoup de points d'exclamations tout ça, je te l'accorde, mais que veux tu, je ne peux pas m'empêcher d'être enthousiaste !!!
Michel : Sa Bonne Foi ? Sa Bonne Fée ? Je suis moins inspirée que toi !!! Mais Yvelinoise va nous éclairer je suis sûre !!!
RépondreSupprimerAh, Yv' s'y met aussi. Sourire...J'enrage un peu de ne retrouver des notes que j'avais sur le Dominion.
RépondreSupprimerSully Prudhomme: souvenir d'un auteur à dictées et à "poésies". Donc vite oublié. Mais "un ciel de mer" rachète le reste. Un bleu sec mouillé.
Oui, Mat' c'est bien Marcel Amont qui la chantait.
Sans Blog Fixe je suppose !
RépondreSupprimerSans Blog Fixe ! Bien sûr !
RépondreSupprimerLou et Michel : et "bin" dis donc, je ne risquais pas de trouver, je ne connaissais pas du tout l'expression ! Mais pourquoi fixe, il existe des blogs nomades ?
RépondreSupprimerJe ne crois pas que ce soit une expression !
RépondreSupprimerBien qu'elle soit intéressante...
En fait, nous n'en savons rien.
C'est Yvelinoise qui dira son sens de SBF...
Mais c'est peut-être celui-là justement.
En fait je ne vais plus guère que sur vos blogs. Se rencontrer, pourquoi pas ? Mais qu'est-ce que cela apporterait ? J'aime bien ces échanges "distanciés".
RépondreSupprimerMat': faudra refaire la photo cet été quand les géraniums seront fleuris. Ils sont aussi rouges que si du sang vif éclaboussait ces balcons. J'ai retrouvé quelques notes. Le quartier côté Mistral et le Petit Séminaire furent touchés. Quant à toi Mat' c'est le 2 août que tu aurais dû aller te mettre aux abris: des grappes de bombes furent lâchées ce jour-là du début Saint-Ruf à Champfleury, tout le long de la voie. Saint-Michel fut aussi touchée.
Lou : excellente idée pour les géraniums, ça serait bien si j'arrivais à refaire exactement le même cadrage, comme Michel pour ses photos il y a 100 ans et maintenant !
RépondreSupprimerMais... pendant la deuxième guerre mondiale, je n'étais pas encore née ! J'y étais donc aux abris !!!
Mathilde : SBF fait référence à SDF: Lou comme moi est un SDF qui loge à la bonne fortune chez l'un où l'autre des aimables aubergistes que sont les blogueuses et les blogueurs qui nous ouvrent gentiment leur porte et nous fournissent le couvert pour nous exprimer, ainsi que le vivre sous forme d'images et de pensées dont nous faisons notre pain quotidien ;-)
RépondreSupprimerLou : pour le Dominion, arrête de farfouiller dans tes notes, il suffit d'ouvrir H. Aliquot ! Page 159, il cite Pierre Grillot :
"Un jour toutes les archives d'un général arrivent au Dominion. Le lendemain, un peu avant midi, un avion fonce en piqué sur le Dominion et déverse sur lui, avec précision, sa cargaison de petites bombes".
Par ailleurs, dans "Avignon, clichés du passé", Jean Mazet rapporte des informations données par Robert Bailly dans son ouvrage "Histoire d'Avignon pendant la dernière guerre" : 18 mai 40 réquisition du Dominion pour devenir un hôpital militaire. 11 nov. 40 installation des bureaux de l'état major du 1er groupe de divisions militaires sous le commandement du général Orly. Le 13 oct. 43 la Kommandantur vient y loger ses services. Le 25 juin 44 cinq bombes sont larguées sur l'hôtel, et le 17 juillet suivant le Dominion est quasiment détruit. Jean Mazet donne aussi une liste de quelques personnalités qui ont séjourné au Dominion, y figurent entre autres : la Duchesse de Westminster, Colette, Winston Churchill, Marcel Pagnol, Tino Rossi, Raimu et Joséphine Baker.
Yvelinoise : Excellent le SBF ! Impressionnée de savoir qu'un ajaccien comme moi est passé par Avignon ! Je ne connaissais pas cet autre point commun entre moi et Tino ! Déjà qu'on me charrie tout le temps avec "le plus beau de tous les tango du monde..." !!!
RépondreSupprimer"tangos" et non "tango"
RépondreSupprimerYv' tes détails sont aussi précis que les tirs sur l'hôtel.
RépondreSupprimerEt moi je suis un âne car j'ai tous les ouvrages que tu cites. Et je ne les ai pas, sauf les deux Bailly sur la guerre, ouverts. Bien la preuve que Mathilde me fait de l'effet au point de me faire perdre mes moyens !
Lou : alors là, trop facile, me faire porter que vous ne retrouvez pas vos ouvrages à cause de moi c'est comique vu que vous ne m'avez même jamais vu, dites plutôt que vous avez tellement de livres que quelques uns finissent pas se noyer, pour ne pas dire que vous devez certainement être désordonné...comme moi ! Bon, pour cette fois-ci, je vous pardonne votre ruse.
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