Tout ce qui n'est pas donné ou partagé est perdu (proverbe gitan)

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Ici c'est le printemps toute l'année !!!

lundi 1 février 2010

Vertige de l'amour





"Dans le palais des émotions il y a beaucoup de chambres."
Antoine Audouard

"Aimer, c'est se donner rendez-vous au bonheur dans le palais du hasard."
Abel Bonnard



Photo de Mathilde Primavera.

10 commentaires:

  1. et de grandes chambres où peuvent s'ébattre les émotions

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  2. Superbes citations!j'en profite pour vous transmettre une info: il faut supprimer mon blog de vos blogs préférés, il y a un bug sur mon adresse.Il faut maintenant taper "couleursetemotion" pour accéder de nouveau à mes articles, si vous le souhaitez vous pourrez vous abonner à partir de la nouvelle adresse! Bonne journée!

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  3. Brigetoun : oui, autant que ce soit dans la grandeur !

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  4. Véronique et Yannis : j'ai supprimé votre lien effectivement il y a un gros bug, mais je n'arrive plus à accéder à votre blog même avec "couleursetemotion", il va falloir me donner votre adresse url exacte. Merci de m'avoir prévenue.

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  5. Ma maison
    by Barbara

    Je m'invente un pays où vivent des soleils
    Qui incendient les mers et consument les nuits,
    Les grands soleils de feu, de bronze ou de vermeil,
    Les grandes fleurs soleils, les grands soleils soucis,
    Ce pays est un rêve où rêvent mes saisons
    Et dans ce pays-là, j'ai bâti ma maison.

    Ma maison est un bois, mais c'est presque un jardin
    Qui danse au crépuscule, autour d'un feu qui chante,
    Où les fleurs se mirent dans un lac sans tain
    Et leurs images embaument aux brises frissonnantes.
    Aussi folle que l'aube, aussi belle que l'ombre,
    Dans cette maison-là, j'ai installé ma chambre.

    Ma chambre est une église où je suis, à la fois
    Si je hante un instant, ce monument étrange
    Et le prêtre et le Dieu, et le doute, à la fois
    Et l'amour et la femme, et le démon et l'ange.
    Au ciel de mon église, brûle un soleil de nuit.
    Dans cette chambre-là, j'y ai couché mon lit.

    Mon lit est une arène où se mène un combat
    Sans merci, sans repos, je repars, tu reviens,
    Une arène où l'on meurt aussi souvent que ça
    Mais où l'on vit, pourtant, sans penser à demain,
    Où mes grandes fatigues chantent quand je m'endors.
    Je sais que, dans ce lit, j'ai ma vie, j'ai ma mort.

    Je m'invente un pays où vivent des soleils
    Qui incendient les mers et consument les nuits,
    Les grands soleils de feu, de bronze ou de vermeil,
    Les grandes fleurs soleils, les grands soleils soucis.
    Ce pays est un rêve où rêvent mes saisons
    Et dans ce pays-là, j'ai bâti ta maison...

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  6. De hautes chambres avec suite et labyrinthe, portes dérobées et coursives (pour se poursuivre sur les toits) sans oublier, au milieu de la cour, le puits d'amour.

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  7. Jeandler : oh oui, oh oui, j'adore les suites, les labyrinthes, les portes dérobées, les coursives se poursuivant sur les toits, et les puits d'amour !!! De quoi rêver pendant au moins 107 ans !

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  8. hermosisimo poema! bellos instantes yo cree un pais y un sol....bellisimo!
    un abrazo enorme como el mundo
    gracias por estar y comentar...tengo un traductor en linea, que corrige verbos,en todos los idiomas...pero espero que escribas en el bello y traslucido decir en español...lo haces y muy bien!
    abrazos enormes a avignon y a ti,enormes como el mundo
    lidia




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  9. Lidia : Sol y amor para ti y por tu pais tambien !
    Un fuerte abrazo querida amiga !
    Voy a visitar tu blog hasta la vista !

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