Tout ce qui n'est pas donné ou partagé est perdu (proverbe gitan)
dimanche 11 avril 2010
De la nécessité d'ouvrir les barrières
Je suis assez d'accord avec le fait que c'est malsain de reprocher à l'autre ce que nous pourrions bien souvent nous reprocher à nous même et c'est d'autant plus vrai dans les relations dites "amoureuses".
Exprimer son désir, employer le "je", est le plus sûr moyen de ne pas se mentir, de ne tromper personne, d'éviter la frustration, les névroses et les regrets.
La clarté de la pensée révélée au grand jour éradiquant ainsi tout non dit, tout malentendu, serait comme une porte que l'on pousse nous amenant vers un extérieur lumineux et plein de rayons prometteurs.
Le seul grand souci c'est qu'il existe des portes qui coincent, ou pire, qui sont verrouillées à double tour, mais vous n'avez pas la clé.
Au mieux, vous déploierez une énergie considérable, motivé par votre élan spontané plein d'enthousiasme, jusqu'à trouver un serrurier qui résoudra votre problème sur le champ.
Et là, vous constatez misérablement un horizon gris, l'orage gronde, mais très naïvement vous avez oublié votre parapluie, votre parka et vos bottes en caoutchouc.
Vous êtes inondé par une pluie diluvienne avant même de faire trois pas, le ciel vous est déjà tombé sur la tête, et ce, sans même prendre le soin de vous prévenir.
Aussi, la grande question est :
Si vous savez à l'avance que la météo n'annonce que du mauvais temps, tenteriez vous tout de même de pousser la porte en hurlant vos désirs ?
Photos et texte de Mathilde Primavera.
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Matilda
RépondreSupprimerNuestro Deseo es ataduras Abrir Las Puertas de Cuando Nuestro Corazón ESTÁ Sano y libre. El Problema es encontrar una persona que Una Este también "libre" Toda Presión. En la mayoria Gran de Casos los, intentan Abrenes Abrir Puerta e Ingresar a Nuestra PARA MÁS dolor y corazón Nuestro desengaños ... Creo que Respeto MERECE, Humano y servicios un Cruce de que el párrafo senda Cuidar Muy bien de Nuestra Alma.
Un abrazo, Desde El Otro Lado del Océano.
moi non même si je ne suis pas certaine que ce sera gris, mais à grand tort
RépondreSupprimerTaty Cascada : También creo que lo más libre y abierta como el corazón, se gira hacia la gente bajo presión, la complejidad de sus tormentos, nos encontramos con una barrera que puede ser agudo, sin saberlo, y baja estima que ir solo a saber lo que difícil avanzar. Lo que esto no nos impide tratar de mantener esta pureza protegerse a sí mismos como pueden. La preocupación es que con ingenuidad éstos y los espontáneos y sin cálculos, a menudo tendemos a destellos de luces, donde hay a menudo más que la sombra y los animales Savauge escondido en alguna parte listo para saltar!
RépondreSupprimerDecir sí, hacemos coincidir kilómetros de uno al otro, pero no sin nosotros entender hasta ahora! ¡ Es maravilloso !
Un fuerte abrazo !
Brigetoun : savoir se protéger comme tu le fais est une réaction très saine et si tu as l'impression de louper le coche quelques fois, au moins tu es certaine de ne pas tomber dans une certaine souffrance !
RépondreSupprimerPour ma part, j'ai tendance à être un tantinet kamikaze, mais je me dis qu'il faudrait que je me calme, pour l'instant cela ne m'a pas porté chance !!!
Les barrières sont appelées à être sautées et les murs à tomber un jour ou l'autre.
RépondreSupprimerSoyons optimistes.
« De la joie, quoi qu'il arrive ! »
Bouge pas Mathilde !
RépondreSupprimerJe t'envoies un serrurier pour faire sauter les verrous qui coincent ou qui grippent dans la barrière !
Les nons-dits... quelle misère !
Je ne serais pas aussi optimiste que mon inconnu "collègue" dit "Avignon" ( hep ! ) qui parlent de barrières qui seront sautées un jour et des murs qui tomberont un autre jour ! On a tous vu celui de Berlin... mais on a pas bien vu celui qui se cachait derrière et qui est bien plus résistant que le premier...!
Non mais, t'as pas honte de dire des trucs pareils ?... C'est ma voie, ou voix intérieure qui me parle ( putain ! ça y est ! Je deviens "schiso"... J'entends cette fameuse deuxième voie, ou voix qui me parle ! Au-secours Mathilde ! )... Le premier mur a quand même causé des dégats ! Faut pas déconner non plus !
Finir sur un non-dit ou sur des mots qui ne ce sont pas dits, je ne vois pas le problème ?...
Parce que tu crois qu'on arrive toujours à se dire ce qui fait vraiment défaut dans une relation qui "foire" ?
La pensée révélée au grand jour... hé bien, avec tout le respect que j'ai pour toi Mathilde, laisse-moi te dire que c'est de la connerie !
Tu crois qu'il suffit de faire la clarté ? Mais c'est quoi la clarté ?
ça me rappelle l'histoire de ce mec qui avait perdu les clés de sa voiture. Il cherchait près du réverbère, courbé vers le sol, scrutant chaque centimètre de sol pour y retrouver ses clés ! Un gars qui le regardait s'approche de lui et lui tient ce propos : Vous avez un fromage... Non ! Merde ! ça c'est une autre histoire... Il lui dit : "Mais pourquoi vous cherchez là près du réverbère ? Si ça se trouve, vous avez perdu vos clés plus loin, là-bas par exemple, près du portique, à la pénombre !"
Alors le gars qui cherche lui répond : "Oui mais là, au moins, il y a de la lumière !"
Oui, je sais ! Encore une fois, c'est complètement con ! ! ! Mais c'est pour illustrer mon propos !
Quand ça foire, ça foire ! Qui est le coupable ? Peut-être personne ! Qui se ressemble, cherche à s'assembler ! Et l'inverse ! Si Mathilde ! ça marche dans les deux sens ! ! !
Tou ça c'est que du sado-maso !
Je sais ! Je fais très court ce soir !
Mais si tu y tiens, je peux te dévelloper le sujet en trois exemplaires avec accusé dès la reception !...(8[
Non, tout ça, c'est que dans les films...
La porte ouverte sur la vérité dite au grand jour, ce n'est qu'une illusion de plus !
La moidre des choses justement ( ce n'est pas du vécu... Je tenais quand même à le préciser...), c'est de continuer sur des noms dits ou des nons-dits si tu préfères qui finalement sont entendus par les intéressés mais pas dits pour la communauté ! ! !
Bref ! Sur ce, je te quitte !
Ciao Bye-Bye !
Jeff : très intéressant commentaire qui me pousse plus en avant dans cette réflexion ! Effectivement, et si les non-dits étaient nécessaires (et de toute façon incontournables car ils sont la manifestation d'un empêchement à dire, et ce, quelque soit la raison) puisqu'ils sont de toute façon compris par les intéressés ? J'aurais tendance à penser comme toi que derrière un mur peut se cacher un autre mur, peut être encore plus dur à percer et ton exemple sur le mur de Berlin est très pertinent, venant très bien illustrer ce que tu exprimes et ce que je ressens aussi ! Finalement la lumière n'est pas toujours là pour nous éclairer et dans l'ombre il peut y avoir des trésors insoupçonnés aussi qui nous ouvre d'autres portes invisibles au premier abord et qui nous amèneront sur des chemins sans grosse entrave. L'histoire du type qui cherche la clé est excellente également pour le souligner ! Tu es très fort dans ton raisonnement très bien argumenté et exprimé par métaphores (poils au corps...euh là...je dévie, mais c'est pour mettre un peu de fun dans une conversation qui pourrait sembler trop sérieuse et telle que je me connais, tel que je te connais, ça ne nous ressemble pas !) Alors, oui, je confirme, tu as sans doute raison, il y a une grande part de masochisme à vouloir enfoncer des portes derrière lesquelles on sait pertinemment que le soleil n'est pas au rendez-vous ! Tu développes une logique qui tente à me pousser du côté vers lequel j'avais déjà envie d'aller en posant cette question, et la direction est de faire marche arrière justement devant cette barrière et trouver des ouvertures ailleurs ! Merci Jeff pour ton éclairement sur une théorie qui peut s'adapter à beaucoup de situations.
RépondreSupprimerBises éclairées...mais attention...je n'ai pas dit avec des éclairs comme lorsqu'il y a un orage !!!
Michel : ton point de vue est bien trop optimiste pour moi, ça serait comme dire qu'on ne se cogne jamais à l'extérieur, aux autres !!! Pour moi la vie ne ressemble pas à l'univers des bisounours !
RépondreSupprimerJeff : j'ai envie de rajouter, oui on peut à un moment donné exprimer ses désirs quand on sent que c'est nécessaire, quand on pense qu'il y a pu avoir un malentendu entre deux personnes, mais...surtout... ne pas insister si on sent que de l'autre côté ça coince vraiment et commencer à prendre un autre chemin pour tenter de trouver un autre environnement bien plus accueillant !!!
RépondreSupprimerRetour de bises !!!
Quand je me cogne à l'extérieur, je crie très fort, même en silence, et puis je pars à la recherche de ce que je peux renvoyer de bon : du pardon, des rires, souvent des choses futiles mais qui n'ont qu'un seul but, trouver de la joie pour avancer.
RépondreSupprimerQuant aux bisounours, nous vivons dans le même monde et bien des gens feraient mieux de jouer aux bisounours que d'aller faire la guerre !
:-))
Michel : ton point de vue très catholique est bien simpliste, mais je suis ravie pour toi si quand on te gifles tu tends la joue avec le sourire ! Tout bien réfléchi, pour ma part je ne suis pas maso, quand je ne me sens pas en adéquation dans une relation, si malgré toute la bonne volonté je me cogne à un mur, je vais vers des horizons dégagés sans entrave. Il y a suffisamment de personnes sur la planète pour ne pas se créer de névrose. Mais, en l'occurrence, ici, il ne s'agissait même pas de pardon, mais de savoir si exprimer absolument ses désirs pouvaient modifier une relation. Mais Jeff y a répondu clairement et m'a éclairci ce que je savais déjà au fond de moi, et la réponse est de toute évidence non ! A priori, tu n'as pas connu de tempête dans ta vie,tu n'as pas dû te cogner si fort que cela, les murs rencontrés ne devaient pas être très épais pour être en harmonie avec tout le monde et arriver à communiquer pour que tu puisses être accueilli comme il se doit jusque dans tes amours!!! Garde donc bien ce précepte !!!
RépondreSupprimerEt pourtant cette attitude je l'ai rencontrée chez beaucoup de gens qui avaient beaucoup plus souffert que moi. Notamment chez un Monsieur adorable qui était revenu des camps de concentration.
RépondreSupprimerMichel : mais ce monsieur a tout à fait le droit d'avoir a priori le syndrome de Stockholm ! Si tu vas par là, le grand-père de mon ex-mari aussi s'est enfui des camps de concentration, mais il en a vu de toutes les couleurs, et pour arriver à s'échapper il a dû se battre !!! Quant au fait d'avoir perdu dans les camps, sa femme, son fils, sa fille, son père, sa mère, un frère, une sœur, c'est bizarre, mais il n'a jamais voulu tendre l'autre joue pour prendre une nouvelle baffe ! Autre version donc, mais on s'éloigne du sujet avec ton commentaire auquel je me dois de répondre.
RépondreSupprimer"Ouvrez, ouvrez la cage aux oiseaux.
RépondreSupprimerRegardez-les s'envoler. C'est beau.
Les enfants, si vous voyez
Des petits oiseaux prisonniers,
Ouvrez-leur la porte vers la liberté." chantait, à son époque, Pierre Perret.
Serge : très drôle Serge, mais, une pt'ite question tout de même, est-ce que tu as pris tes gouttes aujourd'hui ? Mais fais gaffe, si tu me chantes la même chose un jour, je risque de reprendre en chœur avec toi, et tu as compris que je chantais aussi bien qu'une casserole ! Ce sont les pigeons aux alentours qui vont prendre la poudre d'escampette vite fait bien fait avant que le ciel ne leur tombe sur la tête !!!
RépondreSupprimerIl est moins dangereux d'ouvrir une barrière qu'une porte: dans les barrières, y'a des espaces vides, aussi on peut voir ce qu'il y a derrière et on a une idée de ce qu'on peut trouver (hihi!)
RépondreSupprimerSalut Mathilde,
RépondreSupprimerPas trop le cœur à bloguer ces derniers temps.
Merci pour ton passage "chez moi", la barrière est toujours ouverte pour les amis...
K'line
Moi je serais tenté de pousser la porte, sans pour autant hurler mes désirs. La curiosité serait la plus forte mais la pluie plus glacée aussi. Les barrières en fait tombent vite si nous savons nous retrouver par d'autres liens que ceux "des convergences" et des apparences. Je pense à ce billet où tu citais Proust. Ceux qui ont tant souffert peuvent-ils pardonner ? Pas sûr et pourtant ils n'auront de paix qu'en le faisant, au moins -a minima- Et en laissant le soin aux autres non de les venger mais de terrasser les bourreaux. Facile à dire, pas facile à réaliser.
RépondreSupprimerLa pensée révélée au grand jour nous aide-t-elle ? Pas sûr. Les non-dits sont aussi des signes et les mots retenus peuvent se dire, s'échanger par le regard, le geste, l'attention, l'attitude. Mais là cela devient un peu compliqué. Mieux vaut, comme l'écrit Etamine, n'aller que dans des pays de barrière, même si la découverte est moins forte et un peu attendue...
Epamin': trop forte !!! Mais, vous profitez de ma faiblesse de photographe du dimanche de n'avoir aucune photo de porte que j'aurais volontiers publiée à la place de la barrière pour vous moquer de moi et vous avez raison ! Mais, comme on ne fait rien au hasard (il parait), on peut supposer que moi aussi ma préférence va vers des barrières plus accessibles que des portes et où un certain espace est déjà déterminé à l'avance !!! J'adore votre façon de dire les choses avec finesse et humour !!!
RépondreSupprimerK'line Bloom : Je peux comprendre ta "non envie" de te balader sur les blogs, ça m'arrive souvent, et d'ailleurs en ce moment, j'avoue qu'il y a du laisser-aller de ce côté là !!! Mais, sachant tout cela, je ne m'inquièterai pas si je ne te relis pas avant un bon moment !!!
RépondreSupprimerRavie de m'être baladée sur ton blog aujourd'hui en tout cas !!!
Lou : vous posez là encore un autre questionnement sur le fait de pousser une porte, ou une barrière au paysage semi-connu et dans le deuxième cas, il est vrai que les grandes surprises ne seront pas au rendez-vous, mais les grosses déceptions non plus ! Ne faisant pas partie de la majorité des personnes tièdes, et n'aimant pas les compromis je serai plutôt du genre kamikaze pour connaitre la passion, mais une chose est sure, c'est qu'elle est plutôt destructrice même si elle seule peut laisser des traces indélébiles qui nous font sentir vraiment vivants et pas "vivotants" !!! Le souci, c'est que seule la fusion permet une passion contrôlée mais qu'elle ne se rencontre pas à chaque coin de rue ! Après, les non-dits permettent d'entretenir de bons rapports sans gêne, mais la frustration s'installe aussi ! Dire les choses peut faire fuir une personne fragile en face, donc pour doser tout ça c'est compliqué. Mais, après mûre réflexion je redis ce que j'en conclus (et je ne dis pas que c'est moi qui ai raison, c'est juste mon point de vue): on peut commencer à dire certaines choses sans tout dire et voir si la relation s'améliore. Si bien sûr ça ne marche pas, ne plus rien dire et dès que la relation devient trop toxique ne pas hésiter à partir.
RépondreSupprimerLe pardon n'est pas du tout ce à quoi je pensais en parlant des entraves que l'on peut rencontrer dans une relation, mais juste un mur auquel on se cogne, sans savoir si c'est nous-même qui devons nous remettre en question en formulant les choses justement, ou se taire car on sait que le mur cache encore d'autres pierres derrière ce dernier. Mais, après multiples "prises de têtes" sur la question dire ou ne pas dire les choses, j'en conclus surtout que si une relation n'est pas un minima limpide au départ sans trop d'entraves c'est que les deux personnes n'ont rien à faire ensemble, ou alors c'est qu'elles passent le temps, sans pouvoir vraiment nommer ce qu'est leur relation ! De nos jours, sans aller jusqu'à l'engagement, il y a des relations comme ça qu'on ne peut pas nommer tant c'est confus et compliqué, comme si justement juste une relation engagée pouvait avoir du sens. Après, dans une vraie relation engagée pour l'avoir vécu, je sais que la communication prime et qu'il y a intérêt à dire les choses si on veut que ça dure vraiment, c'est à dire une relation où il existe encore des sentiments au bout de longues années, les sentiments incluant le désir ça va de soi. Difficile de doser quand on ne sait pas pourquoi la personne en face fait de la résistance d'une certaine manière. A croire qu'il faut soit vivre une relation en couple (en habitant ensemble), soit supporter suivant les cas, les murs, les murets, les barrières ! Je ne connais aucun exemple d'une relation équilibrée entre un homme et une femme qui ne vivent pas ensemble et sans compter qu'il ne faut pas se fier aux apparences. Il existe bien des couples dits officiels qui ne vivent pas ensemble, mais quand on creuse on se rend compte que ces murs sont toujours là justement, ou peut-être à ce stade se ne sont que des barrières, mais des barrières quand même !!! ça me chagrine je dois dire !!!
Le bonheur est paraît-il à trouver dans cette faculté que nous aurions à pouvoir nous défaire de nos passions sources de bien de maux. Mais comment détricoter quand tant de laines nous tiennent lieu de refuge et de repère ?
RépondreSupprimerPS d'un billet précédent: Buffalo Bill emmena avec lui dans sa tournée, en Europe, des centaines d'indiens. Bloqués à Marseille ils furent recueillis par Folco de Baroncelli sur ses terres de Camargue. C'est cette très belle histoire d'amitié que nous dit le spectacle Camargue Rouge (créé au Chien qui Fume)avec Nicole Rieu. Folco et les frères de Sitting Bull (qui n'avait pas été autorisé à suivre Bill)ne parlaient pas la même langue. Mais est-ce leur passion commune pour les grands espaces, les chevaux, la nature qui les fit se rencontrer au-delà des mots ?
Lou : comment détricoter ? Mais...en se mettant au crochet parbleu !!! Vous avez raison, la passion est à fuir et finalement bien souvent on se sent mieux dans sa peau, avec toutes ses facultés psychiques, des désirs tournés vers l'extérieur, quand on est seul que mal accompagné !!! L'équilibre à maintenir serait qu'entre deux détricotages et trois points au crochet le temps ne dure pas trop longtemps, mais ça, personne ne peut le maitriser malheureusement !!!
RépondreSupprimerBesoin de refaire un grooooos plein d'énergie, tout simplement. Si tout était simple qu'un Mar(tût!) ou un Ovomaltruc (sourire)...
RépondreSupprimerUne réponse t'attend dans mon petit jardin...
Bonne soirée,
K'line
Besoin de refaire un grooooos plein d'énergie, tout simplement. Si tout était simple qu'un Mar(tuuuut) ou un Ovomalt(tuuuut) (sourire)...
RépondreSupprimerUne réponse t'attend dans mon petit jardin...
Bonne soirée,
K'line
K'line Bloom : tu as tellement besoin de faire un gros plein d'énergie que tu le dis deux fois (sourire) !!! Tu as raison, s'il suffisait d'un Mars(supilami), ou d'un Ovalmat(him) pour se requinquer, effectivement ça serait simple et j'en prendrais moi aussi tout de suite !!!
RépondreSupprimerMais, ne t'inquiète pas, j'avais lu, j'ai bien compris que tu n'aimes pas les jeux vidéos !!! (rires !!!)
Bonne soirée à toi !!!
Hummm... I am "demasqued" ;-))
RépondreSupprimerTu ne connais pas le hoquet du blogueur ? :)
Nan, je croyais que cela n'avait pas "imprimé" la première fois, et avec la modération impossible de corriger les ratés....Il faut bien se trouver quelques excuses minables...
Bonne soirée,
K'line
K'line Bloom : pas minable du tout, cela arrive à tout le monde !!!
RépondreSupprimerPour moi c'est romarin le matin et verveine le soir, Ploum-Ploum et Mat' vous devriez essayer plutôt que de faire du snacking sucré.
RépondreSupprimerLou : j'aime pÔ la tisane pour la millième fois !!! Ploum-Ploum je ne sais pas, mais le snacking sucré je ne connais pas, à part le chocolat ! Mais le chocolat c'est un médicament, c'est anti-stress, gavé de magnésium, alors c'est recommandé dans toutes les bonnes pharmacies familiales, et ce, même si on vit seul (d'ailleurs, dans ce cas, prévoir un stock plus important) !!! Bon, j'arrête mes délires !!!
RépondreSupprimerMais, arrêtez donc de déformer tous les pseudos de mes copines, Ploum-Ploum c'est K'line Bloom et Etamines c'est Epamin d'abord !!!
Flou, vous êtes un plaisantin !!!
Et puis, un bob coup de pied aux fesses et c'est bien mieux que la tisane mais moins bien que le chocolat....
RépondreSupprimerSerge : aaaaaaahhhhhh un fan de chocooooooooolat !!! T'es mon ami toi, ça c'est sûr y a pas de doute, je ne doute pas pour les autres, mais toi c'est vachement plus sûr !!!
RépondreSupprimerLou : vous croyez qu'ils font de la tisane au chocolat ?
RépondreSupprimerK'line Bloom : et de la tisane au Mars, ça existe aussi ?
RépondreSupprimerMon commentaire n'était nullement destiné à me moquer de votre barrière rose, au contraire...
RépondreSupprimerEn suivant votre belle métaphore, je voulais dire que certaines situations sont totalement bloquées, un peu comme des portes blindées alors que d'autres, fermées par de légères barrières, sont plus aisées à dénouer car certains paramètres nous sont connus.
Epamin': je me suis mal exprimée, je n'ai absolument pas pris votre commentaire pour de la moquerie mais bien comme un clin d'œil pour souligner ce que vous êtes en train de dire là et que j'avais déjà compris la haut !!! Je voulais surtout mettre en avant votre belle subtilité en fait !!! ;)
RépondreSupprimerEpamin' : j'oubliais, votre dernier commentaire nous ramène bien au titre de cette publication "de la nécessité d'ouvrir les barrières". Belle conclusion !
RépondreSupprimerMathilde...j'aime trop le chocolat pour en faire de la tisane !!! Bien épais, à l'ancienne, des barres de VRAI chocolat noir fondu dans un peu de lait chaud, huuuummmm...
RépondreSupprimerPour la tisane de Mars, il faut demander au lièvre de Mars, du côté de chez Alice...je vais me renseigner ;-))
Bises
K'line Bloom : Et une fan de plus !!! Tu es très très très bien comme gamine, je te garde parmi mes amis !!! Oui, oui renseigne toi du côté de chez Alice !!! :)
RépondreSupprimerUne autre gamine !!!
Ploum ploum....Lou ravi aurait-il abusé de la tisane de Romarin pour m'imaginer en plum pudding ? :)
RépondreSupprimerK'line Bloom : oh certainement, je soupçonne Lou d'abuser de la tisane et pas qu'au romarin !!! Camomille, verveine...aussi !!! Mais, à fortes doses, je crois qu'il y a des effets secondaires !!!
RépondreSupprimer