Tout ce qui n'est pas donné ou partagé est perdu (proverbe gitan)
Ici c'est le printemps toute l'année !!!
vendredi 16 juillet 2010
Pour Denise
Les mots me manquent. Pas seulement. Toi aussi. Pendant les milongas, je penserai à toi. Pas seulement. Je danserai pour deux. Fais moi un signe pour me dire que depuis là où tu es, tu tangues aussi sur ce tempo ! Et si les anges ça ne fait pas de signe, ça ne fait rien, danse, danse, danse...Denise !
L'émotion, la vraie, est dans chacun des mots offerts à l'amie, à la sœur, à la complice des pas de danse... Bel hommage, simple et sincère. Merci pour elle.
Epamin' : merci de votre soutien, je suis vraiment sous le choc, je viens d'apprendre l'affreuse nouvelle il y a à peine une heure ! Elle a été une de mes partenaires de tango (on s'éclatait à danser ensemble, elle guidait très bien et on avait le même tempo) et mon amie ! J'ai les boules !
j'avais craint de comprendre - je t'embrasse (c'est la période, on enterre le 20 un de mes très bons amis, n'y serait qu'en pensée et par émissaire) - toujours révoltant
Brigetoun : c'est dur ! Comment accepter de voir partir ceux qu'on aime ? Quand est-ce que l'être humain sera assez grand et assez sage pour avoir du recul vis à vis de la mort, sans que cela nous affecte, nous renverse, nous submerge et nous angoisse ? Oui, je suis également en colère, une colère rentrée car trop affectée, mais en colère, profondément en colère !
Avec l'âge on peut être plus sage pour accepter plus sereinement sa propre mort, mais celle des autres, des proches, des amis, fait toujours aussi mal à 60 ans qu'à 20.
Fardoise : mais tout de même, 52 ans c'est jeune ! Elle laisse deux fils dont un est encore au collège ! Et elle avait encore tant de projets ! Et puis, merde, elle va vraiment nous manquer à tous !
Moi qui étais ravie de trouver sur ton blog trace d'une milonga... et voilà que je comprends que tu as perdu "une amie"... et que ce billet c'est ta tristesse, que je partage car c'est aussi cela le net, cette compassion qui permet d'être sincère dans ces moments !
Michelaise : en l'occurrence, ici le choix de cette milonga est pour Denise effectivement, mais j'ai déjà publié plusieurs vidéos de tango argentin que j'estime de qualité, juste par passion pour cette danse, en évitant tout de même de bombarder mon blog pour ne pas saouler les quelques lecteurs. "Tristesse", le mot est bien faible pour une personne qui était très très aimée dans le milieu du tango, et je ne m'avance pas trop en disant qu'elle était appréciée d'énormément de gens dans tous les milieux confondus ! Je suis toujours sous le choc de cette affreuse nouvelle, pour moi Denise était immortelle, même si les derniers temps je me rongeais les sangs en pensant à elle !
L'émotion, la vraie, est dans chacun des mots offerts à l'amie, à la sœur, à la complice des pas de danse...
RépondreSupprimerBel hommage, simple et sincère.
Merci pour elle.
Epamin' : merci de votre soutien, je suis vraiment sous le choc, je viens d'apprendre l'affreuse nouvelle il y a à peine une heure !
RépondreSupprimerElle a été une de mes partenaires de tango (on s'éclatait à danser ensemble, elle guidait très bien et on avait le même tempo) et mon amie ! J'ai les boules !
j'avais craint de comprendre - je t'embrasse (c'est la période, on enterre le 20 un de mes très bons amis, n'y serait qu'en pensée et par émissaire) - toujours révoltant
RépondreSupprimerBrigetoun : c'est dur ! Comment accepter de voir partir ceux qu'on aime ? Quand est-ce que l'être humain sera assez grand et assez sage pour avoir du recul vis à vis de la mort, sans que cela nous affecte, nous renverse, nous submerge et nous angoisse ? Oui, je suis également en colère, une colère rentrée car trop affectée, mais en colère, profondément en colère !
RépondreSupprimerTon amie doit te sourire de là où elle se trouve.
RépondreSupprimerJe comprends ta colère...
Bises de tout cœur.
Avec l'âge on peut être plus sage pour accepter plus sereinement sa propre mort, mais celle des autres, des proches, des amis, fait toujours aussi mal à 60 ans qu'à 20.
RépondreSupprimerK'line Bloom : je pense aussi, c'était une personne très enjouée, toujours le sourire, joyeuse et fortement sympathique ! Je t'embrasse aussi !
RépondreSupprimerFardoise : mais tout de même, 52 ans c'est jeune ! Elle laisse deux fils dont un est encore au collège ! Et elle avait encore tant de projets ! Et puis, merde, elle va vraiment nous manquer à tous !
RépondreSupprimerMoi qui étais ravie de trouver sur ton blog trace d'une milonga... et voilà que je comprends que tu as perdu "une amie"... et que ce billet c'est ta tristesse, que je partage car c'est aussi cela le net, cette compassion qui permet d'être sincère dans ces moments !
RépondreSupprimerMichelaise : en l'occurrence, ici le choix de cette milonga est pour Denise effectivement, mais j'ai déjà publié plusieurs vidéos de tango argentin que j'estime de qualité, juste par passion pour cette danse, en évitant tout de même de bombarder mon blog pour ne pas saouler les quelques lecteurs. "Tristesse", le mot est bien faible pour une personne qui était très très aimée dans le milieu du tango, et je ne m'avance pas trop en disant qu'elle était appréciée d'énormément de gens dans tous les milieux confondus ! Je suis toujours sous le choc de cette affreuse nouvelle, pour moi Denise était immortelle, même si les derniers temps je me rongeais les sangs en pensant à elle !
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