Des fois, docile comme un animal domestique, le soleil se couche
pour que je puisse aller marcher sur le tempo du tango dans la cité connu
et alors, l'asphalte caresse doucement mes tendres métatarses,
pendant que j'entrevois la lune au delà de certaines épaules et bien au dessus des murs.
Première photo et commentaires de Mathilde Primavera.
Nietzsche avait une soeur.
Mathilde Primavera a un frère.
Deuxième et troisième photo du frangin.
j'aime autant la photo de Mathilde que celle du frangin et réciproquement - et j'envie et admire la danseuse
RépondreSupprimerPetit j'ai chu, mémé tâta mes métatarses !
RépondreSupprimerJe trouve ces flous fous !
Bonsoir Mathilde,
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup cette série de flous et lumière douce.
Ce soir, j'ai moi aussi rendez-vous avec la lune (je ne me prends pas pour le soleil, je te rassure)...mais espère dormir un peu quand même ! :)
Je serai moins présente ces jours-ci, mais penserai bien à toi et à tes publications. Ce sera mon petit épisode du soir !
A bientôt,
K'line
Brigetoun : je dirais à mon frangin qu'il peut dors et déjà investir dans un A.P.N. !!!
RépondreSupprimerOlivier : tout va bien ? L'herbe n'est pas trop sèche en Bourgogne ? La famille ça va ? Tata, tonton ? C'est fou ce que je peux raconter comme bêtises sur ce blog !
RépondreSupprimerK'line : tu vas disparaitre toi aussi une fois la lune venue ? Bouhouhou, c'est pas juste ! J'espère pouvoir te relire très bientôt !!!
RépondreSupprimerBuenas noches Matilda, me gusta El baile, beber Una copa de vino y alegría ver caras en Los.
RépondreSupprimerUn beso.
Taty Cascada : Ya estoy borracho sin vino, pero me gusta bailar muy seguro ! Eres una buena vida como yo ! Las grandes mentes piensan igual !
RépondreSupprimerUn besito para ti !