Tout ce qui n'est pas donné ou partagé est perdu (proverbe gitan)
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lundi 10 mai 2010
Paradoxe
"Le monde tout entier aspire à la liberté, et pourtant chaque créature est amoureuse de ses chaînes. Tel est le premier paradoxe et le nœud inextricable de notre nature."
avec respect pour lui, je dirais que l'on n'est amoureux de ses chaînes le plus souvent parce que l'on n'a pas conscience qu"elles sont chaînes. Sinon elles sont généralement haïes, sauf dans le cas d'un amour lucide (puisque constatant leur présence) et sacrificiel
On peut tout imaginer avec une corde...le pire comme le plus poétique. Je préfère imaginer qu'il s'agit là d'un accessoire de trapéziste de cirque contemporain, d'un voltigeur ou d'une voltigeuse qui s'affranchit du sol...Nous avons tous nos chaînes et nos nœuds, mais pourquoi ne pas en jouer plutôt que de les subir ?
Adrian : comme vous, je ne me sens jamais plus libre et confondue dans l'espace infini que devant, ou sur la mer ! Donc pas de chaîne, pas de noeud tel ce noeud de bateau dont je me suis servie pour cette citation, mais qui n'est pas synonyme pour moi d'enchainement, bien au contraire ! Ah c'est un lac que vous avez photographié, il a l'air bien immense, je croyais que c'était la mer ! Vous avez eu en tout cas le bon réflexe de vous arrêter !
Brigetoun : Je ne suis pas certaine de ce que tu dis, beaucoup de gens se plaignent de leurs contraintes sans pour autant s'impliquer pour que cela change. Sinon je ne faisais pas allusion à l'amour avec cette citation, je prenais un sens plus général, mais puisque tu en parles, je dirais que même dans le cas des "chaines" dans une relation amoureuse, personne n'est obligé de subir ! L'amour ou il est réciproque ou il ne l'est pas et dans le deuxième cas il suffit de tout faire pour casser les liens qui blessent sinon cela devient du masochisme. Je sais, je dis ça comme si c'était aussi simple que cela alors que ça ne l'est pas évidemment, mais l'idée, le but, c'est ça !
J'aime la mer, il n'a aucune chaîne…
RépondreSupprimerMathilde. J'ai pris la photo d'une route. J'ai arrêté ma voiture et je pouvais encadrer cette vue merveilleuse du lac.
RépondreSupprimeravec respect pour lui, je dirais que l'on n'est amoureux de ses chaînes le plus souvent parce que l'on n'a pas conscience qu"elles sont chaînes. Sinon elles sont généralement haïes, sauf dans le cas d'un amour lucide (puisque constatant leur présence) et sacrificiel
RépondreSupprimerUne bien belle corde pour aller se faire pendre !
RépondreSupprimerOn peut tout imaginer avec une corde...le pire comme le plus poétique. Je préfère imaginer qu'il s'agit là d'un accessoire de trapéziste de cirque contemporain, d'un voltigeur ou d'une voltigeuse qui s'affranchit du sol...Nous avons tous nos chaînes et nos nœuds, mais pourquoi ne pas en jouer plutôt que de les subir ?
RépondreSupprimerOn s'attache à de telles images...
RépondreSupprimerDes liens tissés, une aventure nouée.
Adrian : comme vous, je ne me sens jamais plus libre et confondue dans l'espace infini que devant, ou sur la mer ! Donc pas de chaîne, pas de noeud tel ce noeud de bateau dont je me suis servie pour cette citation, mais qui n'est pas synonyme pour moi d'enchainement, bien au contraire !
RépondreSupprimerAh c'est un lac que vous avez photographié, il a l'air bien immense, je croyais que c'était la mer ! Vous avez eu en tout cas le bon réflexe de vous arrêter !
Brigetoun : Je ne suis pas certaine de ce que tu dis, beaucoup de gens se plaignent de leurs contraintes sans pour autant s'impliquer pour que cela change. Sinon je ne faisais pas allusion à l'amour avec cette citation, je prenais un sens plus général, mais puisque tu en parles, je dirais que même dans le cas des "chaines" dans une relation amoureuse, personne n'est obligé de subir ! L'amour ou il est réciproque ou il ne l'est pas et dans le deuxième cas il suffit de tout faire pour casser les liens qui blessent sinon cela devient du masochisme. Je sais, je dis ça comme si c'était aussi simple que cela alors que ça ne l'est pas évidemment, mais l'idée, le but, c'est ça !
RépondreSupprimerSerge : mais quelle horreur, je n'avais pas du tout pensé à une telle chose en lien avec cette corde, si je peux m'exprimer ainsi !
RépondreSupprimerK'line Bloom : je sens bien là, une nouvelle fois, l'artiste qui parle et son âme poétesse qui me ravissent !
RépondreSupprimerJeandler : dans une vie antérieure vous avez été membre d'un salon du 17ème siècle non ? Pour qu'il en reste autant d'esprit, c'est obligé !
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