Tout ce qui n'est pas donné ou partagé est perdu (proverbe gitan)

Tout ce qui n'est pas donné ou partagé est perdu (proverbe gitan)
Ici c'est le printemps toute l'année !!!

lundi 29 mars 2010

Pas assuré





Difficile de rester en équilibre sur l'asphalte qui accueille tant de pas mal assurés.
Vous savez pertinemment que tôt ou tard vous recevrez le coup de pied inattendu qui vous clouera sur place quelques instants, quand il ne vous paralysera pas pour longtemps.
Ce n'est pas tant les coups en eux mêmes que vous redoutez que les hématomes encore endoloris qui vont se réveiller à nouveau lors des futurs chocs.
Vous ne voyez plus qu'une rue parsemée de pièges, de bombes à retardement qui n'attendent que d'exploser dans une parfaite cacophonie sonore.
Vous ne voulez pas plus entendre qu'être témoin d'une catastrophe dont vous serez la victime.
Mais, comme vous n'aimez pas vous apitoyer sur votre sort, encore moins à l'avance, vous évitez le bitume inhospitalier au possible et vous fuyez pour sombrer dans la rêverie, l'hédonisme et le sommeil.
Vous avez bien une odeur de peau dans le nez qui ne vous quitte plus du matin au soir et à laquelle vous êtes très attaché.
Mais, il ne s'agit ni plus ni moins que d'une odeur non palpable, même si elle réveille tous vos sens.
Vos pensées heureuses s'accordent merveilleusement avec ce vide, avec ce rien.
Puis, parfois vous avez des sursauts, des réveils tellement brutaux que votre étonnement arrive très rapidement à la conclusion que vous êtes miraculeusement en vie.
Et là, vous vous cognez à nouveau au vide.
Cela fait moins mal, mais il vous manque toujours quelque chose.
Quelque chose, ou... quelqu'un ?


"La douleur, c'est le vide."

Jean-Paul Sartre - Extrait des Situations

"Les gens qui doutent d'eux-mêmes n'ont qu'un vide au centre d'eux-mêmes."

John Maxwell Coetzee






"L'enfer, c'est les autres", écrivait Sartre. Je suis intimement convaincu du contraire. L'enfer, c'est soi-même coupé des autres."

Abbé Pierre








Photos et texte de Mathilde Primavera.

34 commentaires:

  1. et dire qu'il faut sortir avant de ne plus pouvoir en avoir envie est inaudible ?

    RépondreSupprimer
  2. Beau texte, comme d'hab'. L'Abbé répond par un raccourci à la "pensée sartrienne" qui mérite tout de même une dissertation plus longue après un examen plus approfondi.
    Ceci dit je me sens plus proche de l'Abbé que de celui dont j'ai lu au lycée presque toutes les oeuvres. Sans grand enthousiasme.

    RépondreSupprimer
  3. Brigetoun : on peut tout entendre, même ce que la majorité tait et que quelques uns comme toi ont le courage de dire !!!

    RépondreSupprimer
  4. Lou : beau texte, beau texte...ce n'est pas de la littérature non plus !!! J'aime beaucoup Sartre en général, mais la citation de l'abbé Pierre me parle aussi énormément et je trouve intéressant de confronter les deux citations intrinsèquement liées même si elles sont aussi antinomiques. Ce sont les contraires, les contrastes qui sont passionnants, les théories affirmées dans un seul sens qui donnent une vraie position. Les compromis dans les idées m'ennuient, leurs tiédeurs ne présentent aucun intérêt pour moi d'une manière générale.

    RépondreSupprimer
  5. D'autant que je ne suis pas certain que Sartre soit le premier à avoir énoncé cet aphorisme...

    Les espaces piétonniers (dans les villes; ailleurs,jusqu'à maintenant aucune raison d'être, mais jusqu'à quand?) réservés en principe aux piétons, sont, il faut bien le reconnaître, tant encombrés de plots et autres "mobiliers" (dits urbains) que de vouloir s'y dégourdir les jambes tient du parcours du combattant.

    RépondreSupprimer
  6. Ces citations doivent être plus ou moins vraies selon les caractères des personnes, non ?
    Il y a des ermites et des bateleurs...

    Ton texte est d'une grande tristesse en tout cas.
    Jusqu'à finir par se dire qu'il vaudrait mieux être mal accompagné que seul.
    Même si c'est provisoire.

    Cours, tu es suspendue au ciel !

    RépondreSupprimer
  7. Pour accéder au feu et à la glace, il faudra souvent traverser l'océan des tiédeurs.

    RépondreSupprimer
  8. Jeandler : pour les obstacles, vous faites allusion autant aux obstacles concrets comme les plots physiquement réels qu'aux obstacles de toutes natures auxquels nous sommes confrontés dans la vie de tous les jours ? Dans tous les cas, je ne peux les envisager moi-même que dans tous les sens !!!

    RépondreSupprimer
  9. Michel : on est jamais mal accompagné. On choisit toujours ses compagnons. Nous avons toujours le libre choix. Mais, quand la compagnie arrive à déranger, alors on fait le choix de rester seul. Puis, des fois on voudrait être accompagné d'une personne ou/et l'accompagner, mais cette personne préfère rester seule pour diverses raisons. Mais aussi, dans la vie de tous les jours, comme au travail, dans la société tout court, on se heurte à des tas de gens, ou plutôt ce sont eux qui se heurtent à soi sans qu'on est demandé quoi que ce soit, et c'est là que le bas blesse, que cela fait mal !!! Les souffrances que l'on s'afflige à soi-même font souffrir, mais on ne peut s'en prendre qu'à soi-même. Les souffrances qu'on nous fait subir sont encore d'une autre nature machiavéliques également, mais nous pouvons créer aussi notre propre enfer tout seul, qui devient alors un abîme insoupçonné, enfin je crois qu'au final c'est encore pire !!! Mais, quand on a plus de défenses pour se protéger du monde extérieur et qu'il nous reste que notre propre enfer, on fait quoi ? Beaucoup de choses sauvent, mais l'amour seul peut être le grand sauveur...le temps de sa survivance ! Il ne vit jamais longtemps, et pour se préserver de ce qu'il va suivre on s'enferme. C'est un cercle vicieux. Il reste toujours l'amitié, mais est-ce bien suffisant pour qui sait vraiment aimer en ayant tout le temps l'impression lui-même d'être mal aimé, de ne pas avoir sa place à part entière ?

    RépondreSupprimer
  10. Michel : la tiédeur, c'est un mot que je ne connais pas et qui me fait même horreur pour ne pas dire vomir !!! Quand j'ai mal je mets sur moi une bouillotte bien chaude qui me soulage !!! Quand je brûle je bois glacée ! Quand on me fait mal je deviens un vrai bloc de glace et quand on me touche je deviens un brasier ! Quant aux idéés c'est la même chose ! Je laisse la tiédeur, les compromis aux fantômes de la vie !!!

    RépondreSupprimer
  11. Certainement.
    Mais il faut bien participer de la société dans laquelle on vit... C'est-à-dire prendre de nos exigences pour donner ce dont on est capable.
    Et ne pas trop cracher dans la soupe (tiède !)

    RépondreSupprimer
  12. Michel : ne pas cracher dans la soupe, c'est encore faire des compromis !!! Moi je crache sur tout ce qui me dérange !!! Ne pas se révolter, c'est s'enterrer vivant !!! Personnellement je veux vivre, j'ai du mal à le faire comme je l'entends, mais jusqu'à présent je n'ai jamais renié ce que j'étais vraiment et j'ai toujours suivi ce qui m'anime !!! J'ai quelques fois des résultats très gratifiants ! Si je faisais l'inverse je serais un fantôme parmi les autres fantômes, un mouton de plus !!!
    Je te rappelle que je n'ai pas d'enfant, pas de TV, que je ne coure pas après le boulot et que je ne vais jamais voté au deuxième tour, mais j'ai une autre vie sur d'autres plans ! Je ne serai jamais un mouton !!!

    RépondreSupprimer
  13. Les trépieds ne boitent pas :
    - Brûlant pour honorer les passions.
    - Glacé pour supporter les souffrances.
    - Tiède pour trouver la quiétude.
    Je crois que le bonheur a besoin des trois.

    Et ne pas confondre tiédeur et compromission.
    On se compromet autant dans le feu et dans la glace, si ce n'est plus, car l'on porte atteinte à sa propre intégrité physique.

    RépondreSupprimer
  14. Michel : je ne comprends pas tout ce que tu dis, mais peut-être justement car tu tentes de définir ce qu'est le bonheur !!! Or, pour moi le bonheur n'existe pas, il est un concept humain, où l'Homme essaye de se faire croire qu'il existe !!! Pour moi il existe des moments intenses et des moments vides et dans les moments intenses on peut supposer qu'on est en train de vivre des petits instants de bonheur !!! La tiédeur c'est ça, croire que le bonheur existe !!!
    Quant à l'intégrité physique je comprends encore moins de quoi tu parles, pour moi l'intégrité passe d'abord par le mental et c'est le corps qui finit par l'exprimer en plus des mots, ou et des maux, l'intégrité passe par tout l'être, par une essence, par une âme !!! Il y a des personnes qui n'ont pas d'âme, de cela j'en suis certaine, ou alors elle est si peu palpable, ou si éloignée de la même que je passe mon chemin.
    La quiétude, seule les moines, les grands maîtres de la spiritualité y arrivent, l'Homme qui prétend être heureux et être arrivé à la quiétude est soit un niais, soit un prétentieux !!!

    RépondreSupprimer
  15. "si éloignée de la mienne.." et non pas "si éloignée de la même..."

    RépondreSupprimer
  16. La vie est parsemée de bonheurS.
    Les convictions extrêmes les fusillent.

    Être trop entier dans ses exigences rend asocial.

    Je pense n'être ni niais ni prétentieux (!) mais j'ai connu et j'espère connaîtrai encore des moments de grande quiétude. Bon, ils ne sont pas si fréquents que ça... :-(

    RépondreSupprimer
  17. Michel : les convictions extrêmes permettent également d'avoir des moments de bonheurs INTENSES, je ne suis donc pas d'accord avec toi. Par contre, tu es en train de redire ce que je dis, les instants de bonheur existent, le Bonheur total en permanence non, je défie n'importe quel homme (à part les grands hommes spirituels) d'affirmer qu'il a atteint et de le prouver !!!
    Mais, tu te contredis avec ce dernier commentaire en affirmant aussi que tes moments de quiétude ne sont pas si nombreux que cela !!! Très amusant !!!

    RépondreSupprimer
  18. Michel : j'ai oublié de préciser que je me félicite d'être asociale !!! Je ne plais pas à tout le monde (et tant mieux) et tout le monde ne me plait pas !!! Être sociable, c'est encore renier en permanence ce qu'on est pour se fondre dans la masse !!! En société, soit je m'enflamme, soit je reste un peu polie avec les gens différents de moi que je suis obligée de côtoyer, mais il ne faut pas non plus qu'ils viennent me demander mon avis, au risque de le regretter !!! Tu connais anti-social de Trust !!! Je la connais encore par cœur si tu veux !!!

    RépondreSupprimer
  19. C'est bien possible !
    Peut-être une question de regards...
    Ou bien les notions se mélangent au milieu de ces mots approximatifs.

    RépondreSupprimer
  20. Michel : je considère que ce que tu dis n'est valable que pour toi, car en ce qui me concerne si on peut ne pas être d'accord avec ce que je dis, du moment que c'est clair et que la personne a une argumentation logique jusqu'au bout. Je suis également très claire dans ma tête et mes mots bien choisis, sortis directement de ma pensée sont bien choisis sans que j'ai trop à réfléchir car ils ne sont là que pour souligner ce que je pense déjà depuis bien longtemps. J'ai un positionnement par rapport à la vie, à mon essence qui évolue bien sûr, mais fondamentalement, je ne change pas d'avis toutes les cinq minutes et je ne mélange pas tout !!! Et puis je sais qui je suis et comment je fonctionne tout le temps ! A priori tu fonctionnes au gré du temps et dans le sens du vent !!! Désolée de te le dire, mais ça m'est insupportable !!!

    RépondreSupprimer
  21. Il faut lire après "jusqu'au bout" à la quatrième ligne, "ça me va" qui a sauté, que j'ai dû effacer par inadvertance car je tape à toute barzingue sans me relire !!!

    RépondreSupprimer
  22. Texte bien triste il est vrai ! Je cois qu'en ce monde pour pouvoir vivre, il faut se contenter d'un tas de petits bonheurs si on n'a pas la chance d'en avoir un grand. Il faut aussi regarder le reste du monde qui nous entoure sans se borner à l'humanité et à tout ce qui est négatif.La naturee est belle, le fait d'être en vie est beau, ne pas être cloué au lit est essentiel et même si l'âge rend nos pas incertains, il vaut mieux pouvoir les faire ; Je crois Mathilde que vous regardez trop votre nombril !!! ...

    RépondreSupprimer
  23. Texte bien triste ilest vrai! Je crois qu"en ce monde pour pouvoir vivre, il faut se contenter d'un tas de petits bonheurs si on n'a pas la chance d'en avoir un grand. Il faut aussi regarder le reste du monde qui nous entoure sans se borner à l'humanité et à tout ce qui est négatif. La nature est belle, le fait d'être en vie est beau, ne pas être cloué au lit est essentiel et si l'âge rend nos pas incertains, il est très important qu'on puisse les faire . Ne regardez pas trop votre nombril !

    RépondreSupprimer
  24. Anonyme = Michel : pas la peine de te cacher derrière anonyme, je trouve ça nul de chez nul pour ne pas dire lamentable !!!
    Ma publication d'aujourd'hui ne parle essentiellement que du fait que quelqu'un précisément me manque, comme si en présence de cette personne je me sentais mieux armée pour affronter les affres de la vie. Il va falloir que tu relises !!!
    C'est ton droit de me trouver négative.
    Nombriliste, oui, bien sûr, je le revendique même, surtout sur MON blog !

    RépondreSupprimer
  25. tout bon d'expulser, comme de refuser la tiédeur - ça va, tu ne relèves pas de la chimie - gueule un grand coup, chiale en te forçant jusqu'à t"endormir, et puis sors voir le soleil qui fait des ombres si belles que je voulais en mettre des photos (pas terrible mais ce n'est pas le problème) sur mon blog, sauf que blogger veut plus. Une idée, essaie d'en publier une et comme ça ne marchera pas injurie ton ordinateur un bon coup.

    RépondreSupprimer
  26. Brigetoun : tu es un amour, mais je ne vais pas si mal que cela, juste que je suis très très triste car une personne que je connais un peu, beaucoup, depuis 4 ans, va très très mal en ce moment, et je suis affligée par cela puisqu'elle parle de mettre fin à ses jours ! Je ne sais pas comment dire à cette personne qu'elle compte beaucoup pour moi, ou du moins j'essaye, sans trop de résultat positif concernant son moral au plus bas ! Voilà, c'est dit !!!
    Ceci dit, je n'aime effectivement pas la tiédeur, mais les commentaires ont déviés du sens premier de ma publication !!! (sourires) !!!

    RépondreSupprimer
  27. Camomille (avec un zeste de citron) pour tout le monde ce soir !
    J'ai conservé des années, sans le laver, un sous pull que je mettais avec elle. J'avais l'odeur et la peau. Madeleine amère ou relique éblouissante les soirs de spleen. Un tour de machine fit place nette. Pour la suivante...

    RépondreSupprimer
  28. Je n'avais pas vu ton dernier message, qui me passe l'envie de faire de l'humour. Pas facile à gérer ce genre de situation, que tu décris. Moi je serais probablement maladroit...

    RépondreSupprimer
  29. Bonsoir Mathilde,
    Tu as raison: tu as le droit de dire, de penser et d'écrire ce que bon te semble sur TON blog. Dommage que certains visiteurs portent des jugements hâtifs interprètent mal tes propos et tes émotions!

    Pour en revenir à ton texte, il est évident que Sartre n'est pas un rigolo mais si tu l'as choisi, c'est qu'il exprimait ton idée du moment. Je suis certaine que tu trouveras les mots...

    RépondreSupprimer
  30. J'ai eu un doute avant de venir ici...
    mais finalement, devant ton texte superbe, je ne suis pas resté dubitatif, ni sceptique...:)
    Tu t'es éclatée... vraiment ! ! !
    Mais, l y a une citation qui me pose question et dont je ne suis pas en accord !

    "Les gens qui doutent d'eux-mêmes n'ont qu'un vide au centre d'eux-mêmes."

    Je me demande si finalement, je ne doute pas en permanence, ressentant comme une sorte de grand vide parfois... comme face à quelque chose qui peut exprimer un doute !...;)
    Peut-être un esprit trop cartésien pour en arriver à douter en permanence ?...:)
    Comment ne pas douter de soi face à une situation qui n'a pas été déjà épprouvée, face à des sentiments qui bouleversent parfois nos intimes convictions, face à l'inconnu qui se présente à soi et dont on ne connait rien...
    Alors, je doute en permanence, peut-être pour en arriver à essayer d'être meilleur... meilleur dans le sens de pouvoir appréhender les choses de la bonne façon, n'ayant plus peut-être aussi à émettre de doutes et regretter...!

    Bref ! Je trouve cette citation trop radicale ! Mais ça n'engage que moi...:)

    Ta visite remarquée sur mon blog est charmante ! Je ne sais pas avec toi si c'est du lard ou du cochon...! Je doute encore...:)
    Mais finalement, c'est pour me dire je crois, qu'il n'y a jamais rien d'acquis !

    Bises Belle Mathilde...(8]
    Et toi ? Ne doutes-tu jamais ?
    A bientôt ou... va savoir, disparu dans l'immensité des blogs supprimés...(8[

    RépondreSupprimer
  31. Lou : j'aimeeeeeeuuuuuu pas la tisane !!! Il va falloir que je le dise comment !!! (RIRES)
    Ah, le pull, ado j'ai vécu une histoire d'amour semblable à ce que vous racontez, on avait intervertis les sweat-shirt et mon "petit" copain était très grand et costaud (enfin, tout le monde est toujours beaucoup beaucoup plus grand que moi vu que je mesure 1m05 de loin) et du coup je me retrouvais avec une espèce de mini robe sur mon jean informe que je ne quittais pas et que je ne lavais jamais au grand désespoir de ma mère et lui pareil, mais avec les poignets qui devaient lui arriver aux coudes, et le bas du sweat au niveau du nombril au grand désespoir également de sa mère qui ne m'aimait pas beaucoup !!! Ma propre mère avait fini par jeter ce sweat et je lui en ai beaucoup voulu !!!
    Mais, face à cette personne je me sens hyper maladroite figurez vous, je ne sais pas trop comment exprimer tout ce qu'elle m'inspire de positif, je me sens bien en dessous de ce que je souhaiterai !!! Ceci dit, cette personne a de l'humour, même si cela cache aussi un grand malaise !!!

    RépondreSupprimer
  32. Epamin' : adorable personne que voilà, vous avez à ne pas en douter une belle âme !!! C'est toujours émouvant de vous lire que ce soit sur votre propre blog (que je conseille à tout le monde en cliquant sur son nom), ou dans les commentaires !!! Merci d'être si entière et si fraiche !!!

    RépondreSupprimer
  33. Jeff : mais bien sûr que j'ai des doutes moi aussi, tu me prends pour qui, je ne suis pas au dessus de qui que ce soit, je ne suis qu'une lamentable humaine et comme tout le monde je ne fais que ce que je crois être de mieux en me posant toujours un milliard de questions !!! J'apprends à lâcher prise grâce à ma psy et surtout grâce au tango, mais ce n'est pas facile facile !!!
    Ma visite remarquée sur ton blog ??? Il va falloir que j'aille voir ça !!! Mais pourquoi te demandes tu si c'est du lard ou du cochon avec moi, je suis facilement lisible, tout ce que je peux te dire est sincère, des fois je peux bien dévier, mais seulement quand je me mets à délirer, et là en général, ça se voit !!!
    Disparu dans l'immensité des blogs supprimés ?
    Tu fais allusion à la guerre des étoiles, je suppose ?
    Jeff, ne doute pas de mon sincère enthousiasme concernant ta vivacité que j'adore !!!
    Bises bien sincères !!!

    RépondreSupprimer