Merci Mathilde, je ne connaissais pas cette chanson. Je sens vos bleus au coeur, qui virent parfois au rouge! Que ce petit message soit comme un baume apaisant! A bientôt Maia
Brigetoun : et moi qui culpabilisais de céder au blues ! Du coup, ton message me fait un bien fou. Je suis généralement quelqu'un de dur, peut être un peu trop, enfin avec moi même en tout cas, où je ne m'autorise pas à flancher ! Habituellement, je ne pleure jamais par exemple, mais là...Et puis zut, ça m'évitera surement de somatiser et de me créer je ne sais encore quelle maladie, exprimer ce que je ressens est certainement libérateur au lieu de me faire croire que tout va bien tout le temps à coups de pieds aux fesses !
Jeandler : oui, les jours se suivent et ne se ressemblent pas, enfin, dans ce cas en l'occurrence, ça fait deux ans que je me le dis mais que j'éprouve les mêmes sentiments pour cet homme, c'est horrible de ne pas (malgré une grande lucidité de ma part) arriver à faire une belle croix sur lui, il m'est difficile de faire un trait car ma tête me dit une chose et mon cœur autre chose ! Non pas que j'ai habituellement une grande attirance pour les goujats, loin de là, mais il n'est pas que ça non plus, et je suis formelle, quand j'aime quelqu'un vraiment, je l'aime toujours quoi qu'il arrive, ce qui fait que je garde toujours au fond de moi une infinie affection pour mes ex, toutes de natures différentes évidemment ! Ce n'est même pas de la nostalgie, mais bien des liens qui restent suspendus dans le temps ! Le fait que se soit derrière n'enlève rien à ce que j'ai pu vivre, je trimbale le souvenir du paroxysme des relations que j'ai vécues, ce pourquoi, peut-être, je n'arrive pas être autre chose que sentimentale, ça me nourrit tout le temps, et heureusement pas toujours dans la tristesse comme là, mais ça va aller, je vais tenter de transformer cette énergie en autre chose ! Merci pour votre douceur Jeandler et votre joli soutien.
Maia : je vous confirme et le crie bien haut, oui, votre passage, tous les passages ici sont des soutiens extraordinaires pour moi. Dans le monde des blogs la seule chose qui me chagrine c'est de ne pas pouvoir nous rencontrer tous les uns et les autres (à part les avignonais que je connais maintenant), une grande frustration s'installe, mais en même temps cet empêchement nous fait dire des choses que nous ne dirions peut-être pas oralement, car l'expression écrite c'est encore autre chose. Je suis heureuse d'avoir croisé votre chemin grâce à vous puisque c'est vous qui m'avez trouvée ici !
céder au blues tendre, un peu, juste un peu - ne fait pas de mal, aide à rebondir
RépondreSupprimerA ne pas repousser. De temps en temps, reprendre souffle, faire le ménage, fermer les yeux pour mieux repartir le lendemain...
RépondreSupprimerMerci Mathilde, je ne connaissais pas cette chanson.
RépondreSupprimerJe sens vos bleus au coeur, qui virent parfois au rouge!
Que ce petit message soit comme un baume apaisant!
A bientôt
Maia
Brigetoun : et moi qui culpabilisais de céder au blues ! Du coup, ton message me fait un bien fou. Je suis généralement quelqu'un de dur, peut être un peu trop, enfin avec moi même en tout cas, où je ne m'autorise pas à flancher ! Habituellement, je ne pleure jamais par exemple, mais là...Et puis zut, ça m'évitera surement de somatiser et de me créer je ne sais encore quelle maladie, exprimer ce que je ressens est certainement libérateur au lieu de me faire croire que tout va bien tout le temps à coups de pieds aux fesses !
RépondreSupprimerJeandler : oui, les jours se suivent et ne se ressemblent pas, enfin, dans ce cas en l'occurrence, ça fait deux ans que je me le dis mais que j'éprouve les mêmes sentiments pour cet homme, c'est horrible de ne pas (malgré une grande lucidité de ma part) arriver à faire une belle croix sur lui, il m'est difficile de faire un trait car ma tête me dit une chose et mon cœur autre chose ! Non pas que j'ai habituellement une grande attirance pour les goujats, loin de là, mais il n'est pas que ça non plus, et je suis formelle, quand j'aime quelqu'un vraiment, je l'aime toujours quoi qu'il arrive, ce qui fait que je garde toujours au fond de moi une infinie affection pour mes ex, toutes de natures différentes évidemment ! Ce n'est même pas de la nostalgie, mais bien des liens qui restent suspendus dans le temps ! Le fait que se soit derrière n'enlève rien à ce que j'ai pu vivre, je trimbale le souvenir du paroxysme des relations que j'ai vécues, ce pourquoi, peut-être, je n'arrive pas être autre chose que sentimentale, ça me nourrit tout le temps, et heureusement pas toujours dans la tristesse comme là, mais ça va aller, je vais tenter de transformer cette énergie en autre chose !
RépondreSupprimerMerci pour votre douceur Jeandler et votre joli soutien.
Maia : je vous confirme et le crie bien haut, oui, votre passage, tous les passages ici sont des soutiens extraordinaires pour moi. Dans le monde des blogs la seule chose qui me chagrine c'est de ne pas pouvoir nous rencontrer tous les uns et les autres (à part les avignonais que je connais maintenant), une grande frustration s'installe, mais en même temps cet empêchement nous fait dire des choses que nous ne dirions peut-être pas oralement, car l'expression écrite c'est encore autre chose. Je suis heureuse d'avoir croisé votre chemin grâce à vous puisque c'est vous qui m'avez trouvée ici !
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