LE
TEMPS D'UN WEEK-END (avec AL PACINO) dans le remake du célèbre PARFUMS
DE FEMMES (film qui mettait en scène Vittorio GASSMAN)...
...
où un colonel aveugle mais viscéralement friand des parfums de nos
indispensables muses (Al Pacino obtint pour ce film son premier Oscar du
meilleur acteur), exécute un tango éblouissant par le sens du jeu et
l'intensité qu'il y exprime.
«
Pas de bêtise dans le tango comme dans la vie, c’est simple. Si vous
faites un faux pas, même si vous tanguez un peu, le tango continue ».
Avec une reconnaissance orale de la piste avant de se risquer à danser.
Intense ! De mémoire, Al Pacino qui danse, c’est vraiment quelque chose.
Et en le revisionnant, c’est techniquement moins fort, mais cela reste beau, et émotionnellement c’est par contre toujours aussi beau.
Pas de tango argentin au sens propre du terme (les musiques des tangos sont bien argentines cependant), mais de la danse avec une superbe demoiselle (Dona, Gabrielle Anwar), un tango de salon, une véritable interprétation, une véritable expression, les yeux aveugles et fixes, fascinants, la demoiselle éprouvant ses premier émois tangués, est surprise puis troublée, le regard qui se baisse, qui roule et qui s’égare, la joue qui se confie, la musique est belle, et surtout l’émotion..., qui chauffe le cœur.
L’interprétation (même chorégraphiée) est très musicale, amène irrésistiblement le sourire aux lèvres, les yeux pétillent et sourient, on joue sur les changements de rythme ou retournements, promenades, pirouettes, bout de bras, ramenés, enroulés dans le bras, fentes, petits pas, ochos du danseur et de la danseuse, et petite fente avec la jambe de la danseuse qui s’enroule autour de son partenaire pour terminer.
Avec une reconnaissance orale de la piste avant de se risquer à danser.
Intense ! De mémoire, Al Pacino qui danse, c’est vraiment quelque chose.
Et en le revisionnant, c’est techniquement moins fort, mais cela reste beau, et émotionnellement c’est par contre toujours aussi beau.
Pas de tango argentin au sens propre du terme (les musiques des tangos sont bien argentines cependant), mais de la danse avec une superbe demoiselle (Dona, Gabrielle Anwar), un tango de salon, une véritable interprétation, une véritable expression, les yeux aveugles et fixes, fascinants, la demoiselle éprouvant ses premier émois tangués, est surprise puis troublée, le regard qui se baisse, qui roule et qui s’égare, la joue qui se confie, la musique est belle, et surtout l’émotion..., qui chauffe le cœur.
L’interprétation (même chorégraphiée) est très musicale, amène irrésistiblement le sourire aux lèvres, les yeux pétillent et sourient, on joue sur les changements de rythme ou retournements, promenades, pirouettes, bout de bras, ramenés, enroulés dans le bras, fentes, petits pas, ochos du danseur et de la danseuse, et petite fente avec la jambe de la danseuse qui s’enroule autour de son partenaire pour terminer.
On
pourrait ajouter que le même Al PACINO faisait déjà voir ses qualités
de gestuelle et de danseur (et toujours bien sûr de comédien) dans le
film DICK TRACY (où il faisait un méchant mémorable) avec une gestuelle «
intéressante » en chorégraphe de revue de Cabaret de Chicago, made in
années 30, avec une gestuelle désinhibée à la fois, caricaturale
dansante et limite invraisemblable. Ouf!
Source :
http://tango-eric-bonus.voila.net/filmographiesdetango/index.html
Mathilde Primavera.
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