Tout ce qui n'est pas donné ou partagé est perdu (proverbe gitan)
dimanche 15 mai 2011
Dans vos bras j'oublie tout
Glisser au rythme du tempo imposé
Bien sentir la peau des pieds se plisser
Balancer jambes folles de tous côtés
Compter dans le haut tous muscles étirés
Fermer les yeux sur violon qui a grincé
Grimacer sur le bandonéon ailé
Se délasser dans bras d'hommes doués
S'assoir soupirer sourire souffler
Observer ce garage aménagé
S'émerveiller de passer belle soirée
En compagnie de danseurs très inspirés
Un air de Buenos Aires la rêvée
Oublier autre lieu moins hospitalier
Ville romaine pour ne pas la citer
Accueillant un soir musiciens concentrés
Trop occupés pour recevoir mon idée
De rassembler d'heureuses affinités
Je tangue sur ce rendez vous bien loupé
Mathilde Primavera.
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sanglots
RépondreSupprimerRéalisez la recette "Tango" directement dans le verre. Versez d'abord le sirop de grenadine et puis ajoutez la bière!
RépondreSupprimerServir dans un verre de type "verre tulipe".
En général, rouge à la base et couleur dorée (celle de la bière) au dessus.
Brigetoun : Hou là, je n'avais aucunement envie de provoquer du chagrin, des angoisses, ou je ne sais quel sentiment peu plaisant !
RépondreSupprimerAlexandre : recette simple, mais astucieuse qui doit donner certainement un très joli résultat visuellement et en matière de saveur.
RépondreSupprimerALors ce n'est pas dans vos bras, mais dans vos mains !! Et si ces mains sont savantes, cela promet des merveilles !!!
RépondreSupprimerMichelaise : promesses tenues !!!
RépondreSupprimerCri de la vallée a dit…
RépondreSupprimerQu on est bien, dans les bras d' une personne du sexe opposé, qu on est bien dans ces bras là!
16 mai 2011 19:38
Cri : le doublon de ton nom et les horaires différents ne sont pas là pour nous troubler, mais uniquement car je me suis permise de faire un copier coller de ton commentaire qui s'est retrouvé dans la publication précédente "blogger en folie", qui pour le coup porte bien son nom !!!
RépondreSupprimerSinon, évidemment, entièrement d'accord avec toi, les bras d'un homme c'est quelque chose tout de même !!! Je suis une fan de ça !!! Cela arrive bien trop rarement malheureusement, heureusement qu'il y a le tango !!! :)
Je crois que ce sont davantage mes lunettes que mes horaires! Ou l iPhone et de la distraction. Et puis je suis éminemment bordélique quand même. Donc, blogger en folie, je crains dégun! Oui, je crois que la formule "bisous" est le symptôme de notre culture de refus du contact. Regarde, embrasser a une dimension corporelle que baiser (pas au sens de rapports sexuels mais de donner un baiser) n a pas, encore moins "bise" et ne parlons pas de l étriqué et faussement bon enfant ou complice "bisou"! D' ailleurs, selon ce que j écris, je ne termine pas pareil parce que je suis dans la dymamique d' embrasser, de plein de bises, de bises tout court mais plurielles ou de la singulière bise d' au revoir. Il est rarissime que je me livre au bisou fût il épistolaire à moins que je ne sois en telle empathie avec mon destinataire que j use de son champ lexical, et c est encore un signal sémantique. Mais bon, trève de délire potron minesque. Tout cela ne vient pas contredire que les mots ont pour chacun une charge emotionnelle intime directement en prise avec son histoire et moi, je pense que j embrasse parce que ma mère me faisait des bisous. En fait je dis ça mais je n en sais rien. C est juste pour écrire l histoire.
RépondreSupprimerJe vous emrasse tous.
Cri : des fois où tu n'aurais pas encore pris tes gouttes, il faut que j'assume mon rôle d'amie en te disant qu'une nouvelle fois tu délires ! Tu délires, mais bien ! Tellement que cela en devient lucide, voire extra lucide !!!
RépondreSupprimerEn réponse à tout cela, et ce n'est pas pour te contredire, dans mon cas où ma mère n'était pas du tout affectueuse pour un rond, j'ai quand même une grosse tendance à faire de vrais bisous, à être enveloppante avec les autres, et si je ne me retenais pas, je serais carrément collante !!! Heureusement que je n'ai pas eu d'enfants, j'aurais usé leurs peaux !!! Mes pauvres neveux en savent quelques choses, j'ai passé mon temps à leur lécher la poire, mais c'était ma façon à moi irrépressible de leur dire que je les aimais !!! Bisesssssssssssssss
C est pour cela que je te parlais de la charge affective du MOT. Certes, en te lisant je vois où est la faille de mon propos. Je ne pensais pas de petits bisous aux enfants. Je n oserais pas les embrasser (dans les bras) j aurais trop peur de les contraindre! Je pensais à des bonjour et au revoir d' adultes. De toute façon, je suis une patouilles et je sais que par le contact on perçoit largement plus d' information qu on ne voudrait (donner ou recevoir d' ailleurs). Et je te dis, pour les enfants, je les laisse tellement venir pour ne pas les brusquer, les "envahir" qu ils ne me parlent que rarement. Mes précautions provoquent un tri implacable. Souvent, les enfants ne m aiment pas mais ce n est pas grave. Je ne cours pas après eux ni après leurs parents. Car le problème est bien là: les parents! Je le sais, je suis lamentable!!!!! J ai fait une merveille et je ne m en remets pas. Aussi, je suis purement insupportable quand il s agit de nico. Exactement TOUT ce que j abhorre chez les parents. C est pitoyable. Sans doute pour ça que je suis sur la retenue. La vague conscience de l puissance que je pourrais déployer et que par décence de tiens secrète;)
RépondreSupprimerJe sais, mes bras sont grands!
RépondreSupprimerAdrian : mais, malheureusement trop loin !!!
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