Avec mon grand chapeau je fais une belle révérence pour saluer le temps entre Noël et l'épiphanie.
En quoi demain (2010) doit-il impérativement ressembler à hier (2009) ?
La remise en question est à l'ordre du jour, en doutez-vous ?
Texte et photos de Mathilde Primavera.
pas la galette ici ! la brioche aux fruits confits (et j'en suis fort aise, même si la photo est somptueuse
RépondreSupprimerBrigetoun : oui je sais, la galette à la frangipane est typiquement parisienne. ! C'est rare que je n'aime pas quelque chose au niveau alimentaire, mais je n'apprécie pas du tout les fruits confits. En revanche tout ce qui est aux amandes...
RépondreSupprimerAaaaargh la galette !
RépondreSupprimerTu veux dire que tu as le culot d'en faire d'aussi jolies photos sans nous inviter à la manger avec toi ? Eh bien, y'en a qui ont pas de savoir-vivre.
En plus je suis comme toi, j'aime pas les fruits confit et j'adoooooore la frangipane. Parisienne ? oui pour ça j'assume.
Nathalie : Oups ! Vi, je suis mal élevééééée, mais je peux réparer ça ! Ils font des galettes jusqu'à quand ? J'irais demander et je vous propose une date pour venir en manger une genre un soir ou le week-end prochain ! Fais gaffe, rien ne me fait peur, et une commande chez le boulanger patissier est vite passée !
RépondreSupprimerPuis après, il faut juste que je prévois un truc avec des amandes pour quand tu viendras à la maison si jamais manger la galette ce n'est déjà plus possible ! Comme cela, ça passe mieux ?
Si je peux apporter mon grain de sel à ce propos ethno gastronomique, je pense que la galette parisienne est, au départ, une simple galette de pâte feuilletée sur le dessus de laquelle on a passé de leau fortement sucrée (un sirop, quoi ! ) pour la faire briller et lui donner une saveur douce. Puis par la suite, avec la circulation des personnes et des denrées, la crème frangipane s'est banalisée. Mais il faut voir que principalement, et c'est une simple question de bon sens, c'est de provence que l'usage de l'amande originaire et c'est là qu'il est historiquement ancré avec les calissons, les nougats noir (symbolisant les forces du mal), et blanc (forcément représentant le bien), et toutes autres chsoes à base d'amandes. L'une des théories sur l'étymologie du nom "frangipane" serait qu'il vient du Comte Frangipani qui aurait offert la recette de cette crème en cadeau de mariage à Catherine de Médicis lors de ses noces avec Henri II de France, vers le milieu du XVIe siècle.
RépondreSupprimerBon, on peut aussi imaginer que c'est du frangipanier rapé dans du lait. Je ne sais pas.
Sur ce, je vais manger celles que prépare mon époux doux.
Que rico, que tengas un feliz dia.
RépondreSupprimerun beso
RMC
Belles, belles...
RépondreSupprimerChapeau les dames !
L'une comme l'autre ont des histoires avec le bleu.
J'avoue préférer également la galette à la frangipane.
joli macro sur galette...
RépondreSupprimeras tu reçu le chrono avec le mille feuilles envoyé samedi?
c'est pas de la tarte et malgré tes dernières rassurantes je te souhaite bon appétit !
jibéa
B a raison en Provence c'est ("c'était" le gâteau des rois, aux fruits confits bien sûr). Enfant je ne connaissais absolument pas la galette. Peut-être quelques bourgeois du centre ville savaient ce que c'était. L'arrivée de gens du Nord a modifié les habitudes de consommation. Et ceci arrange bien les affaires des pâtissiers, des industriels et de la distribution: elle (la galette) est facile à faire, revient moins cher et se stocke facilement. La pub de la grande distribution, outre le fait qu'elle est le plus souvent nationale, ne met pratiquement en avant que la galette. Encore une tradition qui se perd...
RépondreSupprimerDe toutes façons: pas facile de trouver un bon gâteau aux bons fruits confits (qui n'embisque pas les doigts et qui ne soit pas trop cher vu le prix des confits, enfin des vrais!), mais pas facile non plus de trouver de la vraie frangipane...
Cri de la Vallée : quelle culture culinaire, quelle culture tout court d'ailleurs, mais cela ne me plait pas du tout, du tout, d'apprendre que cette garce (pour ne pas dire autre chose) de Catherine de Médicis a inauguré la première galette à la frangipane ! Tu veux m'en dégoutée ou quoi ? Bon, mais en même temps si Albert continue de faire avec ses petites menottes ce délicieux dessert, je vais continuer à en manger alors !
RépondreSupprimerRMC : Cada día, un día debería ser rico ! Pero puedo asegurarle que la corona fue de cartón !
RépondreSupprimerUn beso.
Avignon : tu dis ça pour que j'en commande une c'est ça ? Tu es comme Nathalie, tu serais assez tenté pour en manger une même si tu n'as pas dû te priver pour en savourer une autre de ton côté gourmand comme tu as l'air de l'être ?! Je crois rêver, ici tout le monde n'a parlé que de cette galette ! Bon, d'accord, tu as fait allusion aux chapeaux et au bleu, mais tu conclues avec la galette, tu es découvert, c'est trop tard !
Le commentaire de Cri de la Vallée me fait souvenir des treize desserts que ma mère nous a proposa quelques soirs de Noël... durant notre enfance en Provence! Doux souvenirs pour les papilles et les yeux!
RépondreSupprimerJibéa : que neni, je n'ai point reçu le millefeuille, mais je vais guetter le facteur à partir de demain ! Encore merciiiiiiii !
RépondreSupprimerLou Ravi : ah, parce-qu'il existe des fruits confits qui ne collent pas aux dents et qui ne font pas "péguer" les doigts ? Cela doit être pour ça que je n'en raffole pas de la brioche traditionnelle, j'ai du manger que des 100% chimique ! De toute façon, pour la galette à la frangipane c'est pareil, il ne faut l'acheter que dans une bonne boulangerie pâtisserie, ou alors il vaut mieux s'abstenir ! Et bien voilà, j'ai essayé d'être spirituel avec le bleu indigo et sa symbolique et j'en viens moi aussi à parler nourriture et de la mal-bouffe ! Ah, je vous jure, ces commentateurs ne sont là que pour me sortir du droit chemin ! A moins que les images ne soient plus parlantes que les mots (théorie de Michel) et comme ces galettes apparaissent en premier on arrive à en oublier tout le reste de la publication ! Sujet à méditer aussi !
RépondreSupprimerEpamin : je suis écroulée de rire, je constate qu'à vous aussi il ne faut pas vous en promettre, un bout de galette photographiée et hop, évocation pour vous des 13 desserts provençaux, rien que ça ! Je n'ai à faire qu'à des gourmands ! Pffouff, mais bon, je l'avoue, en attendant la galette je l'ai bien appréciée aussi !
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Garou : formateurs très performants au musée Requiem et élèves bien appliqués aussi, enfin, en tout cas toi ! Mais crois-tu qu'un seul "hou" aussi gros soit-il puisse m'impressionner ? En revanche pour ton graphisme sans vouloir tout ramener à moi, chapeau !
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Garou : je suis écroulée de rire, tu as un coup de fatigue là, un mouvement de recul, tu es quasiment aphone, ou c'est moi qui te fait peur maintenant ?
RépondreSupprimerJe me réjouis de votre merveilleux travaille de cette année.
RépondreSupprimerBonne année et vous souhaitons un très bon départ.
De l'Extrême-Orient.
Cordialement.
ruma
Ruma : oh merci Ruma pour ces adorables mots ! Bonne année 2010 à vous aussi !
RépondreSupprimerEh oui Mathilde les confits cela pègue aux doigts. Mais j'adore les (bons) fruits confits et les brioches parfumées. Et puis nous parlions des usages des provençaux qui certes connaissaient la frangipane et le amandes mais ignoraient le feuilletage (because le beurre).
RépondreSupprimerBientôt tu verras on nous proposera des galettes feuilletées garnies de fruits confits, puis un jour de loukoums ou de ketchup...
Le Délirium: plus sympatique et moins bégueule que le Bokao's. J'aime assez la convivialté du comptoir et les banquettes encoussinées de rouge. Et puis quand tu es près de la scène, tu peux te souvenir que du temps de NOGA (Nouvelles Galeries) tu avais, juste à l'étage au-dessus, un rayon de jouets (tout l'immeuble était un grand magasin qui a été "transporté" à Cap Sud). J'y vais peu souvent: à peine deux ou trois fois en 2009. Suis un couche-tôt et donc un lève-tôt. Donc peu de chance de nous voir. Et de toutes façons nous ne nous connaissons pas....
Pour revenir aux desserts. Je suppose que tu as déjà goûté de la bonne bûche avec plein de petits lutins en plastique, qui comme les 7 nains, scient du bois, fendent des bûches etc...As-tu remarquée leur mine réjouie ?
Lou Ravi : mais c'est justement parce-que nous ne nous connaissons pas que je trouve ça incroyable qu'on ait pu peut-être se croiser au délirium sans même se dire bonsoir ! En 2009 je n'y suis allée que deux fois, c'est dire si nous avions des chances de nous y croiser, mais vous savez comment c'est la vie, cela aurait pu être les deux fois où vous-même vous étiez dans ce lieu !
RépondreSupprimerLe Bak à quoi ? Quelle horreur, vous ne risquez pas en revanche de me croiser dans une boite de nuit, sans compter que sans me coucher tôt, je ne suis pas du tout une noctambule !
La bûche ne fait pas du tout partie de mes desserts préférés, mais j'avais enfant un faible pour ces lutins, ces nains, ces champignons que je conservais précieusement, c'était mes copains !
Avignon coucou,
RépondreSupprimerComme je suis un tout petit peu bourrin et une grosse gourmandasse, voilà ce que je récolte commeinformation sur le feuilletage. Il aurait été inventé par claude geléee, un lorrain né en 1600. Toutefois, quand tu dis que le feuilletage est du nord because le beurre, ben mon tout beau, ma toute belle je ne sais pas, il y avait des vaches dans le coin, à Forcalquier par exemple, et les familles faisaient du beurre en Provnece aussi. Mais tu as raison quand tu dis que c'est une cuisine plus du nord que du sud, avec toutefois un bémol, c'est que dans la brioche, on ne met pas de l'huile d'olives. C'est dans la pompe, l'huile, celle des 13 desserts ;) (d'ailleurs, ce matin dès potron minet, j'ai fait une 20 aine de barres de nougat blanc ! )
Ce que je pense, c'est que la galette frangipane, c'est une truc pour gens de villes alors que la brioche, largement plus roborative, a une dimension rurale attestée par les fruits confits (qu'on préparait ainsi pour ne pas qu'ils se gâchent). Cela dit, pour ceux qui n'aiment pas les fruits confits et dont je fais partie hormis quelques exceptions, sachez que ce qui se trouve dans les gâteaux des rois va du simple navet tempé dans le sucre et coloré, à de véritables dés de melons pour les petits morceaux, et pour le dessus, du céleri à la délectable angélique (en fait je crois que c'est le seul truc que j'aime) et maintenant toutes sortes de fruits qui n'auront une véritable saveur sans être un "pastaro" de sucre que s'ils ont été fabriqués maisons ou par un artisan de haute volée qui connait et respecte son métier.
Voilà pour ce que j'avais à dire aujourd'hui sur la galette bleue des rois mais dont vous vous fichez peut-être comme de Colin Tampon !
Cri de la Vallée : mais non, mais non, moi je ne m'en fiche pas et je veux bien même que tu me présentes ce Colin Tampon !
RépondreSupprimerJe te jure, il ne vaut pas grand chose, il est tout juste bon à Colin tamponner !
RépondreSupprimerBises ma belle bleue
Mathilde.
RépondreSupprimerVivo muy lejos para degustar ese pastel, he quedado con mucha curiosidad por saber cómo está Elaborado y gusto que tiene.
Un beso para ti.
Cri: Quelle découverte ! Car quand tu as parlé de Claude Gelée j'ai pensé tt de suite au peintre (A Avignon nous avons son clône, Joseph Vernet)et j'ignorai totalement qu'il fut l'inventeur de la pâte feuilletée...
RépondreSupprimerIl y avait du beurre ici aussi, Avignon avait sa ceinture de fermes. Les riches buvaient le lait de Saint-Tronquet (là où en 1973 on a fait Auchan Avignon-Nord) les autres avaient le lait et le beurre des quelques fermes de la banlieue (Montfavet) ou de la ville (Rigat 10 route de Morières et X (?) Grange d'Orel fermée dans les années 75). La dernière laiterie d'Avignon a cessé son activité dans les années 80 je crois. Elle était vers Monclar. A Montfavet la coop Scalacta faisait du beurre...Mais pour en revenir à notre sujet, la galette, ce n'était pas dans la culture gastronomique rhodannienne. On trouvait cependant des frangipanes dans les pâtisseries chic du centre-ville (Gouas)et à l'Epicerie Parisienne, rue de la République. Ce qui dominait c'était la pogne (de Marseille ou de Roman). J'ai aimé que tu rappelles les navets...Les grandes confiseries industrielles, y compris celles d'Apt, achetaient des tas de navets dans la région de Châteaurenard qu'elles convertissaient , colorés et parfumés, en "fruits confits". C'est ce que l'on trouve encore dans certains panettones. Voir l'étiquette: si c'est écrit "végétaux confits" (laborieux accord administratif transalpin) c'est que ce sont des ..légumes...
Taty Cascada : Es hojaldre relleno de una especie de mazapán ! Un beso.
RépondreSupprimerCri de la Vallée et Lou Ravi : bon, je vous laisse entre grandes personnes, vous avez l'air de bien vous entendre ! Moi je suis trop petite !
Tu es petite mais hispanisante très chère. Lou ravi, j'adore que tu nous racontes tout ça ! Je t'avoue que nous sommes, avec mon doux, un peu chichi pompons. En fait, à la maison, quand nous recevons, nous fabriquons, . C'est un vrai plaisir et en plus on sait ce qu'on met dans les choses. Il faut aussi dire qu'Albert était boulanger et moi une gourmandasse. Alors, on se partage les tâches depuis le pain (aux olives) en passant par le feuilletage pour lui, les oreillettes, les chouquettes, les truffes au chocolat, les nougats, les panisses, les cookies, les spéculoos, les galettes au beurre et tout le Saint-Frusquin, on est souvent en cuisine. Et puis, fabriquer pour partager, c'est pas plus beau que fabriquer pour vendre? Franchement !
RépondreSupprimerQUant à toi, Mathilde qui se dit petite, tu la fais à qui tu veux mais on n'est pas si petite que ça quand on ouvre une aussi vaste tribune où ça fait 30 articles sur ... la bouffe bien sûr, même si ce n'était pas bien ton propos de départ.
Belle, tu laisses place à la vie et aux impromptus qui y éclosent. Tu n'est pas petite, ne te palnque pas ! J'ai peur que tu n'aies à te résigner à être une grande personne hi hi hi !!!!!!!!
Cri de la Vallée : "nous sommes avec mon doux un peu chichi pompon"...non mais je rêve...toi et Albert Chichi Pompon, fais moi rire ma belle, et depuis quand ? Vous avez subi un traitement pour en arriver là ? C'est nouveau ça vient de sortir !
RépondreSupprimerLou Ravi et les autres ne l'écoutez pas, si elle et Albert sont chichis pompons et tout ça parce-qu'ils font leurs gâteaux eux-mêmes, moi je suis la petite sœur des Beatles !
Sinon sache le une bonne fois pour toute Cri, je ne serai jamais une grande personne ! Na !
Cri de la Vallée : je suis petite mais pas idiote, j'ai compris, je vais publier dorénavant uniquement sur les desserts, les mets, les bons plats...!
RépondreSupprimerBon, comme tu veux. Puisque tu ne veux pas que nous chichipomponions, que ce soit acté, nous ne chichipompononerons donc pas ! Là dessus, je rends une arme. Une seule parce que je tiens beaucoup à ces prévenances (dont tu n'as guère été l'objet, je le confesse, mais il y avait cette histoire d'alimentation à propos de laquelle je ne savais trop où frapper de la cuillère).
RépondreSupprimerMais une autre chose sur laquelle je reste circonspecte, c'est que tu ne sois pas une grande personne ... Si ça t'arrange, fais comme tu veux, mais "grande personne" ne signifie pas forcément "adulte". Regarde, le Petit Prince, c'est indéniablement (du moins c'est mon avis que je ne dénie pas ;) ) une "grande personne" et pourtant il n'est pas, oh diantre non, adulte. Donc, prends le comme tu veux mais je suis sûre que je ne suis pas la seule à être de mon avis que je suis prête à partager avec les habituels ou occasionnels visiteurs de bien plus que des mots.
A bon entendeur, Dame Mathilde, je ne peux que te rendre hommage, et puis zou, te faire une bise aussi.
Tu sais, c'est quand même une constante : les gens, il faut les remplir et les rincer ;) Je fais ça à longueur d'année dans mon travail.
RépondreSupprimerHé bien ! ça fait un moment que je fais rrrrouler la mollette pour en arriver à écrire quelques mots dans cette boite "enregistrer vos commentaires" ! ! !
RépondreSupprimerJ'arrive... Heu pardon, poussez-vous... pardon... Oups ! Sorry pour les pieds... 'Scusez-moi... Mince ! C'est votre chapeau sous mon pied droit ! Milles excuses Madame... Pardon... poussez-vous... pardon poussez-vous ! Tenez ! Ben oui ! Merci ! C'est pas votre dentier parterre ? C'est ça oui ! merci c'est pour demain... pardon... excusez-moi... excusez-moi ... Mathilde ! ...pardon, poussez-vous... Maaaaathiiiilde ! Mais elle entend pas ! C'est moi qui ai trouvé la fève ! Quoi ? Qu'est-ce que tu dis ? Non ! J'ai, pas dit "cest quoi cette Renault Seize" ! Je disais... Oh ! Et puis merde ! Je reprendrais bien des deux ! JE REPRENDRAIS BIEN DES DEUX ! Normal qu'elle entende pas ! ! ! Avec tout ce people ! DES DEUX ! OUI ! FRANGIPANE ET BRIOCHE QUI COLLE OU QUI COLLE PAS !... Attend... j'arrive... pardon... poussez-vous... excusez-moi... ... ... ... ... ... ...
Très très drôle, Jeff !
RépondreSupprimerOn s'y croirait...
Jeff : je confirme les dire de Michel, c'est très drôle j'aime bien l'évocation de la renault 16 au lieu de la fève ! Ceci étant dit, dans la vitesse et la précipitation, j'espère que tu n'as bousculé personne ! Quant à mon chapeau un peu froissé, et bien tant pis je vais le remettre en forme ! Vais-je devoir acheter une brioche (sans fruit ou légume confit) s'il en reste, photographier sa trombine et la publier là bientôt ? Et mon régime, vous y pensez tous à mon régime (mais non pas pour maigrir, l'autre régime pour la santé de mon foie)? Ma foi, tant que celui-ci ne se plaint pas !
RépondreSupprimerAvignon... Très drôle... je ne sais pas !... mais je t'ai ramené ta casquette sous "ton" mur mexicain ! Je parle du mur des offrandes ! Ceci dit... pétition, pétition ! ! !
RépondreSupprimerMathilde, ce n'est pas la galette en soi qui fait grossir mais la convivialité avec laquelle on la partage qui peut amener à prendre du poids auprès de ses amis !
RépondreSupprimerQuant à ton foi, je te préconise la galette sans fruits confits, sans farine et sans sucre... uniquement la fève pour avoir le plaisir de te voir toujours nommer "reine" auprès de ceux qui t'aiment ! C'est pas bien dit ça ! ! !... Non non... Ne me remercie pas ! j'ai une renault seize à déplacer et je ne peux pas m'attarder ! En parlant d'attarder... Tu trouves que j'en fais pas un beau moi-même à parler de R 16 et de tout le reste ! Bahhh ! Tant pis ! J'ai pas le temps d'être ridicule...! ! !
Tu reprends de la galette ?...:-)
Jeff : Et comment, en bonne compagnie j'en reprends deux fois plutôt qu'une de la galette !
RépondreSupprimerQuant à la fève c'est rare que je l'ai, mais je n'ai jamais eu de chance au jeu, même à la bataille aux cartes c'est rare que je gagne ! Je sais, je sais ce qu'on dit à propos de "malheureux aux jeux, heureux en ..." mais c'est faux, archi faux ! Ou alors ça va arriver tardivement !
Je connais ça aussi ! Je veux dire la chance aux jeux ou style, une brique doit tomber à 15h37 et 16 secondes et bien, j'y suis, juste en-dessous ! Mais pour ce qui est de "ça va arriver"... rien que le fait de le penser et de le dire, ça va arriver ! je te parle pas de la brique et patati et patata ! Sérieux... Il ne faut jamais désespérer... Jamais...
RépondreSupprimerAmitiés...
Jeff, je te présente mes ecxuses si tu as eu le sentiment que je phagocytais la "tribune fève", sauf que ce serait peut être beaucoup mavancer si je te disais qu'on ne m'y reprendra plus ......
RépondreSupprimerEn tous cas, je t'ai bien lu et entendu et tâcherai de garder davantage de réserve.
Quoique ... finalement, ai-je réellement constitué un effet de soustraction? Ma foi ... à toi de me dire
Bien à toi