Tout ce qui n'est pas donné ou partagé est perdu (proverbe gitan)
dimanche 19 juin 2011
A l'envers, à l'endroit
Un ascenseur dans mon ventre tout cru avalé
Ça monte, ça descend au centre, je suis chamboulée
Dès qu'il chante, dès qu'il danse, dès qu'il me regarde
Je suis liquide, je palpite, je baisse la garde
Je rigole, je virevolte, je m'envole, haut
Je fais le grand écart, le tourniquet, le grand saut
Je suis moi, c'est ma loi, j'ai enfin retrouvé la foi
Je n'entends plus que le murmure de sa belle voix
Mais bien plus encore je soupèse les sous-entendus
Je savoure nos jolis mots volontairement tus
Au bord de la tétanie face à tant d'évidence
Au présent, au futur, ma vie a retrouvé un sens
Plus qu'un but, un rêve, c'est un beau point de mire
Être gai et rire, me noyer dans son sourire.
Mathilde Primavera.
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À on sens, tu décris parfaitement cette explosion de soi quand on est amoureux, cette pulvérisation de l esprit qui nous plonge dans un état pluridimensionnel qui tendrait à prouver que le centre est à la fois partout et nulle part (nul part!). Mathilde, ma belle, tu touches à l universalité à deux.
RépondreSupprimerJe suis très très heureuse pour toi Mathilde. Je te souhaite encore plein de bulles de champagne qui explosent dans ta tête et dans ton coeur. Plein de bises.
RépondreSupprimerTellement joyeuse de te lire sur ce tempo là Mathilde !!!
RépondreSupprimerMichelaise
Cri : ça alors, je fais des trucs de fous sans le savoir, toucher à l'universalité à deux ce n'est pas rien tout de même !!!
RépondreSupprimerK'line : je pense que les bulles ne sont pas prêtes de s'évaporer !!!
RépondreSupprimerMichelaise : ce tempo là me va très bien effectivement, c'est le meilleur !!! Merci encore de partager cette joie avec moi !!!
RépondreSupprimerEt bé voui! Je suis convaincue que les premiers pas dans une gostoir s amour ont une physionomie universelle
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