Très heureuse de découvrir ton blog si raffiné. Ton regard capte le détail et le met en lumière poétique et un je ne sais quoi de désuet qui en fait tout le charme. Dans ce monde un peu dur, beaucoup de tendresse ici. Amitiés salines.
Et non pas: le meilleur moment est quand on Démonte l'escalier, comme aime à le rappeler, l'entreprise Atout KC, spécialiste de démolitions d'immeubles.
Un bien joli billet où les dames se pomponnent. Comme le chantait Danielle Darrieux : "Ah ! qu'il doit être doux et troublant L'instant du premier rendez-vous Où le coeur las de battre solitaire S'envole en frissonnant vers le mystère. Vous l'inconnu d'un rêve un peu fou, Faites qu'il apporte pour nous Le bonheur d'aimer la vie entière L'instant du premier rendez-vous."
Belle journée et n'oubliez pas, escalier du soir, espoir. Je vous embrasse
Malou : bienvenue sur ce blog où effectivement nous sommes censés y trouver un peu de réconfort dans ce monde de brutes ! Les mots "raffiné", "lumière poétique", "désuet" et "tendresse" ne peuvent que me flatter, avec une attention toute particulière pour "désuet" car je souhaiterai cet espace encore plus rétro, plus vintage que cela, mais il n'est pas toujours aisé de montrer exactement l'univers qui nous plait, encore que je reste persuadée qu'un blog n'est jamais que le reflet de soi, quel en soit le résultat !!! Bien amicalement !!!
Dominique : certes, mais sa citation placée dans ce contexte prend une toute autre dimension !!! Finalement on peut toujours détourner un certain cynisme, il faut savoir quelques fois jouer avec les idées et les mots, sinon nous pourrions vite être affligés !!! Des bises !!!
William : c'est la rue Peyrollerie, mais malheureusement ce n'est pas moi qui ai pris cette photo, j'aurais bien aimé ! Il y a d'ailleurs fort longtemps que je ne me suis pas amusée avec mon petit appareil numérique et puis quand les photos sont de moi, c'est mentionné. Heureuse de te retrouver ici à quelques jours d'intervalles !!! je t'embrasse !!!
A la fois loin Et si proche de moi Un nuage de soie S’approche à grand pas Un hiver comme horizon Et des flocons Tombent sur mon front Sur les cils de mes vœux Suis-je comme eux Sur l’accord du silence L’heure glisse Dans l’écoulement Presque blanc Quelle est cette façon de manier le jour Lorsque la nuit nous entoure Et silencieuse L’heure tourne Son ombre sur son axe Déroule le tapis Et je regarde bien cette captive Marquée par des lignes singulières Une douce intimité frôle mon visage Des mains innocentes Nues de toutes ambiguïtés Tourbillonnent sur elle-même Car minuit va s’accomplir Sur tout mon corps Douze frémissements Et ses pas Dont je perçois le galop Déjà lointain est son silence...
Ou
En attendant la neige Jouerait-elle à la souris Planquée derrière son écran Sans voir passer un chat noir ou gris Déroulerait-elle son ruban Passant du Q.E. jusqu'au Q.I. C'est une fille à la panoplie Quand même bien remplie
Suspendue au téléphone Le matin et toutes les nuits Entre là-bas et personne Qu’elle s’envoie sans crier Son petit doigt et nana Allongé dans son lit Avec un morceau de chocolat
Et quand le jour se lève Perdu dans son studio Mais où est donc passé Roméo C’est la douche qui la relève Sur ses talons aiguilles Ses dessous vichy d’anguille Sa vie son travail la maquillent
Pour exorciser l’oubli Elle écrit de la poésie De la passion comme fantaisie En fumant une blonde Cette belle brune N’aime pas la pleine lune Et l’herbe de Cunégonde
Et quand le soleil s'éteint Ses rêves d’amour la relance Piétinerait-elle d'impatience Une petite voix qui vient Annoncer toujours le même refrain Encore combien de jours de silence Sous la même fréquence
James : mais quel plaisir de vous retrouver ici avec à nouveau un de vos beaux poèmes, ça commençait à me manquer !!!! Désolée de ne pas venir plus souvent vous visiter, mais mon emploi du temps actuel ne laisse pas trop de place pour les blogs amis, sans que cela soit définitif pour autant, alors je vous dis à bientôt !!!
Anonyme (reconnu) : Je ne pourrais point dire si votre hypothèse est amusante car ma légèreté ne pourra jamais faire rompre un escalier et je n'emprunte que ceux qui me semblent solides !!! Bien dommage que vous n'aimiez que les caves car c'est un lieu de perdition où on peut se noyer ! Seriez vous, mon cher, devenu tout d'un coup nihiliste ? Votre noirceur montre à quel point vous manquez d'affection ! Pourtant, on peut toujours la trouver, il suffit de se déplier jusqu'à un redressement qui peut faire entrevoir des éclats chaleureux ! Je vous souhaite toute la souplesse du monde !!!
Mathilde, ces escaliers sont un cauchemar ! rien que de voir la photo j'en suis serrée ! quand ne serai-je plus dingue? Foutre !
Et pourquoi, après une spirale ascendante ne mets tu que des descendantes? Jusqu'où vont ils ces escaliers? Je préfère la métaphore qui fait monter au ciel, et si c'est le 7e, tu connais c'est la fête... que de plonger dans les tréfonds du mystère!
Cri de la vallée : Oh "pinaise", je n'ai pas percutté en publiant cet article que cela pouvait te torturer !!! Pardon, pardon, pardon...ma belle Cri !!! Quant aux choix des spirales ascendantes suivies des descendantes, aucune intention là dedans, ces choix ont été aléatoires !!! Bah, les tréfonds du mystère peuvent avoir leur intêrêt s'ils se concluent au 7ème ciel !!!
Certes ! Et je ne vois aucune intention à mon endroit dans ces représentations d'escaliers.Folle mais pas parano. Et tu n'étais en nulle obligation de prendre en compte mes dingueries dans ta publication ! HAAAAAAAAAAA ! Ce serait le comble ! (pas les combles, elles sont en haut). Oui, les tréfonds du mystère ont souvent un charme fou, du fait même qu'ils sont mystérieux. Mais bon, je trouve aussi qu'il arrive un moment où il faut que le sujet se laisse entrevoir car l'intérêt et le Désir sont diablement soluble dans la lassitude, fût-elle celle de l'inconnu, c'est à dire de l'attente.
L'inconnu n'est pétillant que si on sait que, quitte à batailler, on va le découvrir, l'apprivoiser. Si au lieu d'artistiquement se dévoiler il se dérobe par trop, ben qu'il reste en pantalons ! (Je suis confuse, je suis navrée. Ce jeu de mot est d'une consternante nullité mais il me fait rire, alors je le laisse. Il est, à la face du monde bienplusquedesmotsien, l'étincelant affichage de ma médiocrité. Pardon à tous ceux qui, par inadvertance, auraient lu, pardon à toi ma Mathilde dont je sais que tu mets un point d'honneur à être une hôtesse d'une infinie prévenance et d'une exquise politesse pour tes visiteurs. Un nullissime égoïsme verbeux que généreusement tu héberges et auquel, si ça se trouve, tu vas répondre. J'en ai le rouge aux joues !
Ma belle Cri : Je n'ai jamais pensé que tu pouvais être parano, loin de là, folle oui, ceci est une évidence, au moins autant que moi, mais pour pouvoir communiquer avec toi il me fallait autant de ces brins que toi et j'en suis carrément flattée !!! En effet, quand la folie est doublée de gentillesse, comme dans nos cas, elle ne peut être que ravissante et intéressante, à plus forte raison lorsque ce même être a de l'esprit comme toi !!! D'ailleurs, tu l'auras remarqué toi même, mes amis blogueurs ont aussi ce petit quelque chose d'atypique qui fait que nous nous comprenons !!! Et c'est bien connu, plus on est de fous et plus on rit !!! Ton commentaire n'a rien de nul, loin de là, il est pertinent comme d'habitude !!! Puis...je tiens à souligner que lorsqu'on commente un blog on est forcément dans l'idée de partage, je te rappelle que tout le monde peut lire...même un esquimau qui aurait internet ! Alors ta soit disante idée "d'égoïsme verbeux" n'a aucun sens ici, sans compter que tout le monde est libre de s'exprimer, même s'il ne devait y avoir aucune réponse en retour !!! Ceci dit, je serais bien en peine de ne pas te répondre, tu sais trop ô combien j'apprécie nos conversations, dans la vraie vie et ici !!!
Pour répondre à ton questionnement sur l'attente qui peut être douleureuse, il existe une solution. Tout simplement ne point se mettre en position d'attendre et de vivre ici et maintenant. Etre dans l'attente de quelque chose, ou de quelqu'un, c'est se fermer des portes sur d'autres possibles qui peuvent être aussi inattendus que délicieux !!!
Mets donc de la poudre, effectivement tu es légèrement rosie !!! Oh et puis non, cet air enfantin te va comme un gant !!!
Je te lance un paquet de bises, si tu les rattrapes tu as gagné !!!
J'ai eu le jack pot, ma belle, toutes les bises d'un coup. Quand tu m'as parlé de poudre, la rustique que je suis s'attendait à lire "d'escampette" à la suite. Parce que j'étais toujours dans ton propos sur l'attente que je trouvais d'une prodigieuse sagesse.
Je te bise et frotte mon nez contre celui de tous les inuits qui pourraient me lire du fond de leur igloo.
Très heureuse de découvrir ton blog si raffiné. Ton regard capte le détail et le met en lumière poétique et un je ne sais quoi de désuet qui en fait tout le charme. Dans ce monde un peu dur, beaucoup de tendresse ici. Amitiés salines.
RépondreSupprimerEt non pas: le meilleur moment est quand on Démonte l'escalier, comme aime à le rappeler, l'entreprise Atout KC, spécialiste de démolitions d'immeubles.
RépondreSupprimerUn bien joli billet où les dames se pomponnent. Comme le chantait Danielle Darrieux :
"Ah ! qu'il doit être doux et troublant
L'instant du premier rendez-vous
Où le coeur las de battre solitaire
S'envole en frissonnant vers le mystère.
Vous l'inconnu d'un rêve un peu fou,
Faites qu'il apporte pour nous
Le bonheur d'aimer la vie entière
L'instant du premier rendez-vous."
Belle journée et n'oubliez pas, escalier du soir, espoir.
Je vous embrasse
D'un grand cynisme avec les femmes ce Clemenceau !
RépondreSupprimerTes photos d'escalier sont magnifiques ... Bises
On dirait la Rue Peyrollerie la 7ème photo...
RépondreSupprimerC'est toi qui l'a faite?
Malou : bienvenue sur ce blog où effectivement nous sommes censés y trouver un peu de réconfort dans ce monde de brutes ! Les mots "raffiné", "lumière poétique", "désuet" et "tendresse" ne peuvent que me flatter, avec une attention toute particulière pour "désuet" car je souhaiterai cet espace encore plus rétro, plus vintage que cela, mais il n'est pas toujours aisé de montrer exactement l'univers qui nous plait, encore que je reste persuadée qu'un blog n'est jamais que le reflet de soi, quel en soit le résultat !!!
RépondreSupprimerBien amicalement !!!
Maia : en grande forme comme d'habitude, vos commentaires sont toujours aussi drôles, délicieux et poétiques !!!
RépondreSupprimerBelle soirée et mille bises
Dominique : certes, mais sa citation placée dans ce contexte prend une toute autre dimension !!! Finalement on peut toujours détourner un certain cynisme, il faut savoir quelques fois jouer avec les idées et les mots, sinon nous pourrions vite être affligés !!!
RépondreSupprimerDes bises !!!
William : c'est la rue Peyrollerie, mais malheureusement ce n'est pas moi qui ai pris cette photo, j'aurais bien aimé ! Il y a d'ailleurs fort longtemps que je ne me suis pas amusée avec mon petit appareil numérique et puis quand les photos sont de moi, c'est mentionné.
RépondreSupprimerHeureuse de te retrouver ici à quelques jours d'intervalles !!!
je t'embrasse !!!
L'attente c'est :
RépondreSupprimerA la fois loin
Et si proche de moi
Un nuage de soie
S’approche à grand pas
Un hiver comme horizon
Et des flocons
Tombent sur mon front
Sur les cils de mes vœux
Suis-je comme eux
Sur l’accord du silence
L’heure glisse
Dans l’écoulement
Presque blanc
Quelle est cette façon de manier le jour
Lorsque la nuit nous entoure
Et silencieuse
L’heure tourne
Son ombre sur son axe
Déroule le tapis
Et je regarde bien cette captive
Marquée par des lignes singulières
Une douce intimité frôle mon visage
Des mains innocentes
Nues de toutes ambiguïtés
Tourbillonnent sur elle-même
Car minuit va s’accomplir
Sur tout mon corps
Douze frémissements
Et ses pas
Dont je perçois le galop
Déjà lointain est son silence...
Ou
En attendant la neige
Jouerait-elle à la souris
Planquée derrière son écran
Sans voir passer un chat noir ou gris
Déroulerait-elle son ruban
Passant du Q.E. jusqu'au Q.I.
C'est une fille à la panoplie
Quand même bien remplie
Suspendue au téléphone
Le matin et toutes les nuits
Entre là-bas et personne
Qu’elle s’envoie sans crier
Son petit doigt et nana
Allongé dans son lit
Avec un morceau de chocolat
Et quand le jour se lève
Perdu dans son studio
Mais où est donc passé Roméo
C’est la douche qui la relève
Sur ses talons aiguilles
Ses dessous vichy d’anguille
Sa vie son travail la maquillent
Pour exorciser l’oubli
Elle écrit de la poésie
De la passion comme fantaisie
En fumant une blonde
Cette belle brune
N’aime pas la pleine lune
Et l’herbe de Cunégonde
Et quand le soleil s'éteint
Ses rêves d’amour la relance
Piétinerait-elle d'impatience
Une petite voix qui vient
Annoncer toujours le même refrain
Encore combien de jours de silence
Sous la même fréquence
James Px.
James : mais quel plaisir de vous retrouver ici avec à nouveau un de vos beaux poèmes, ça commençait à me manquer !!!! Désolée de ne pas venir plus souvent vous visiter, mais mon emploi du temps actuel ne laisse pas trop de place pour les blogs amis, sans que cela soit définitif pour autant, alors je vous dis à bientôt !!!
RépondreSupprimerLe plus amusant dans les escaliers c'est lorsqu'ils s'effondrent sous notre poids !
RépondreSupprimerUn inconnu qui n'aime que les caves.
Anonyme (reconnu) : Je ne pourrais point dire si votre hypothèse est amusante car ma légèreté ne pourra jamais faire rompre un escalier et je n'emprunte que ceux qui me semblent solides !!!
RépondreSupprimerBien dommage que vous n'aimiez que les caves car c'est un lieu de perdition où on peut se noyer !
Seriez vous, mon cher, devenu tout d'un coup nihiliste ?
Votre noirceur montre à quel point vous manquez d'affection !
Pourtant, on peut toujours la trouver, il suffit de se déplier jusqu'à un redressement qui peut faire entrevoir des éclats chaleureux !
Je vous souhaite toute la souplesse du monde !!!
Mathilde, ces escaliers sont un cauchemar ! rien que de voir la photo j'en suis serrée ! quand ne serai-je plus dingue? Foutre !
RépondreSupprimerEt pourquoi, après une spirale ascendante ne mets tu que des descendantes? Jusqu'où vont ils ces escaliers? Je préfère la métaphore qui fait monter au ciel, et si c'est le 7e, tu connais c'est la fête... que de plonger dans les tréfonds du mystère!
Cri de la vallée : Oh "pinaise", je n'ai pas percutté en publiant cet article que cela pouvait te torturer !!! Pardon, pardon, pardon...ma belle Cri !!!
RépondreSupprimerQuant aux choix des spirales ascendantes suivies des descendantes, aucune intention là dedans, ces choix ont été aléatoires !!!
Bah, les tréfonds du mystère peuvent avoir leur intêrêt s'ils se concluent au 7ème ciel !!!
Certes ! Et je ne vois aucune intention à mon endroit dans ces représentations d'escaliers.Folle mais pas parano. Et tu n'étais en nulle obligation de prendre en compte mes dingueries dans ta publication ! HAAAAAAAAAAA ! Ce serait le comble ! (pas les combles, elles sont en haut).
RépondreSupprimerOui, les tréfonds du mystère ont souvent un charme fou, du fait même qu'ils sont mystérieux. Mais bon, je trouve aussi qu'il arrive un moment où il faut que le sujet se laisse entrevoir car l'intérêt et le Désir sont diablement soluble dans la lassitude, fût-elle celle de l'inconnu, c'est à dire de l'attente.
L'inconnu n'est pétillant que si on sait que, quitte à batailler, on va le découvrir, l'apprivoiser. Si au lieu d'artistiquement se dévoiler il se dérobe par trop, ben qu'il reste en pantalons ! (Je suis confuse, je suis navrée. Ce jeu de mot est d'une consternante nullité mais il me fait rire, alors je le laisse. Il est, à la face du monde bienplusquedesmotsien, l'étincelant affichage de ma médiocrité. Pardon à tous ceux qui, par inadvertance, auraient lu, pardon à toi ma Mathilde dont je sais que tu mets un point d'honneur à être une hôtesse d'une infinie prévenance et d'une exquise politesse pour tes visiteurs. Un nullissime égoïsme verbeux que généreusement tu héberges et auquel, si ça se trouve, tu vas répondre. J'en ai le rouge aux joues !
Ma belle Cri : Je n'ai jamais pensé que tu pouvais être parano, loin de là, folle oui, ceci est une évidence, au moins autant que moi, mais pour pouvoir communiquer avec toi il me fallait autant de ces brins que toi et j'en suis carrément flattée !!! En effet, quand la folie est doublée de gentillesse, comme dans nos cas, elle ne peut être que ravissante et intéressante, à plus forte raison lorsque ce même être a de l'esprit comme toi !!! D'ailleurs, tu l'auras remarqué toi même, mes amis blogueurs ont aussi ce petit quelque chose d'atypique qui fait que nous nous comprenons !!! Et c'est bien connu, plus on est de fous et plus on rit !!!
RépondreSupprimerTon commentaire n'a rien de nul, loin de là, il est pertinent comme d'habitude !!!
Puis...je tiens à souligner que lorsqu'on commente un blog on est forcément dans l'idée de partage, je te rappelle que tout le monde peut lire...même un esquimau qui aurait internet ! Alors ta soit disante idée "d'égoïsme verbeux" n'a aucun sens ici, sans compter que tout le monde est libre de s'exprimer, même s'il ne devait y avoir aucune réponse en retour !!!
Ceci dit, je serais bien en peine de ne pas te répondre, tu sais trop ô combien j'apprécie nos conversations, dans la vraie vie et ici !!!
Pour répondre à ton questionnement sur l'attente qui peut être douleureuse, il existe une solution.
Tout simplement ne point se mettre en position d'attendre et de vivre ici et maintenant. Etre dans l'attente de quelque chose, ou de quelqu'un, c'est se fermer des portes sur d'autres possibles qui peuvent être aussi inattendus que délicieux !!!
Mets donc de la poudre, effectivement tu es légèrement rosie !!!
Oh et puis non, cet air enfantin te va comme un gant !!!
Je te lance un paquet de bises, si tu les rattrapes tu as gagné !!!
J'ai eu le jack pot, ma belle, toutes les bises d'un coup. Quand tu m'as parlé de poudre, la rustique que je suis s'attendait à lire "d'escampette" à la suite. Parce que j'étais toujours dans ton propos sur l'attente que je trouvais d'une prodigieuse sagesse.
RépondreSupprimerJe te bise et frotte mon nez contre celui de tous les inuits qui pourraient me lire du fond de leur igloo.