Je me méfie fort de ce que je pourrais demander à la nouvelle lune demain, mes rêves pourraient être cloisonnés dans une tour Maure.
Je me tracasse bien de ce qu'il ne faut pas formuler au firmament, des fèves pourraient se cacher dans un tropézien.
Ainsi, dans un halo de fumée de sauge, j'ingère du macérat de charme, pour que là haut ma destinée en toge, opère son substrat sans vacarme.
Texte de Mathilde Primavera.